dessolutions et en profite. Ce cadre est trĂšs respectueux des participants en assurant la confidentialitĂ© des propos Ă©changĂ©s, mais surtout parce que la personne qui expose son questionnement est Ă©galement celle qui dĂ©cide Ă  la fin de sĂ©ance de ce qu’elle fera des apports des autres participants. Un groupe de directeurs, encadrĂ©s

Le verbe rĂ©flĂ©chir est du deuxiĂšme verbe rĂ©flĂ©chir se conjugue avec l'auxiliaire avoirTraduction anglaise to think rĂ©flĂ©chir au fĂ©minin rĂ©flĂ©chir Ă  la voix passive se rĂ©flĂ©chir rĂ©flĂ©chir ? ne pas rĂ©flĂ©chir Imprimer Exporter vers WordPrĂ©sentje rĂ©flĂ©chistu rĂ©flĂ©chisil rĂ©flĂ©chitnous rĂ©flĂ©chissonsvous rĂ©flĂ©chissezils rĂ©flĂ©chissentPassĂ© composĂ©j'ai rĂ©flĂ©chitu as rĂ©flĂ©chiil a rĂ©flĂ©chinous avons rĂ©flĂ©chivous avez rĂ©flĂ©chiils ont rĂ©flĂ©chiImparfaitje rĂ©flĂ©chissaistu rĂ©flĂ©chissaisil rĂ©flĂ©chissaitnous rĂ©flĂ©chissionsvous rĂ©flĂ©chissiezils rĂ©flĂ©chissaientPlus-que-parfaitj'avais rĂ©flĂ©chitu avais rĂ©flĂ©chiil avait rĂ©flĂ©chinous avions rĂ©flĂ©chivous aviez rĂ©flĂ©chiils avaient rĂ©flĂ©chiPassĂ© simpleje rĂ©flĂ©chistu rĂ©flĂ©chisil rĂ©flĂ©chitnous rĂ©flĂ©chĂźmesvous rĂ©flĂ©chĂźtesils rĂ©flĂ©chirentPassĂ© antĂ©rieurj'eus rĂ©flĂ©chitu eus rĂ©flĂ©chiil eut rĂ©flĂ©chinous eĂ»mes rĂ©flĂ©chivous eĂ»tes rĂ©flĂ©chiils eurent rĂ©flĂ©chiFutur simpleje rĂ©flĂ©chiraitu rĂ©flĂ©chirasil rĂ©flĂ©chiranous rĂ©flĂ©chironsvous rĂ©flĂ©chirezils rĂ©flĂ©chirontFutur antĂ©rieurj'aurai rĂ©flĂ©chitu auras rĂ©flĂ©chiil aura rĂ©flĂ©chinous aurons rĂ©flĂ©chivous aurez rĂ©flĂ©chiils auront rĂ©flĂ©chiPrĂ©sentque je rĂ©flĂ©chisseque tu rĂ©flĂ©chissesqu'il rĂ©flĂ©chisseque nous rĂ©flĂ©chissionsque vous rĂ©flĂ©chissiezqu'ils rĂ©flĂ©chissentPassĂ©que j'aie rĂ©flĂ©chique tu aies rĂ©flĂ©chiqu'il ait rĂ©flĂ©chique nous ayons rĂ©flĂ©chique vous ayez rĂ©flĂ©chiqu'ils aient rĂ©flĂ©chiImparfaitque je rĂ©flĂ©chisseque tu rĂ©flĂ©chissesqu'il rĂ©flĂ©chĂźtque nous rĂ©flĂ©chissionsque vous rĂ©flĂ©chissiezqu'ils rĂ©flĂ©chissentPlus-que-parfaitque j'eusse rĂ©flĂ©chique tu eusses rĂ©flĂ©chiqu'il eĂ»t rĂ©flĂ©chique nous eussions rĂ©flĂ©chique vous eussiez rĂ©flĂ©chiqu'ils eussent rĂ©flĂ©chiPrĂ©sentje rĂ©flĂ©chiraistu rĂ©flĂ©chiraisil rĂ©flĂ©chiraitnous rĂ©flĂ©chirionsvous rĂ©flĂ©chiriezils rĂ©flĂ©chiraientPassĂ© premiĂšre formej'aurais rĂ©flĂ©chitu aurais rĂ©flĂ©chiil aurait rĂ©flĂ©chinous aurions rĂ©flĂ©chivous auriez rĂ©flĂ©chiils auraient rĂ©flĂ©chiPassĂ© deuxiĂšme formej'eusse rĂ©flĂ©chitu eusses rĂ©flĂ©chiil eĂ»t rĂ©flĂ©chinous eussions rĂ©flĂ©chivous eussiez rĂ©flĂ©chiils eussent rĂ©flĂ©chiPrĂ©sentrĂ©flĂ©chisrĂ©flĂ©chissonsrĂ©flĂ©chissezPassĂ©aie rĂ©flĂ©chiayons rĂ©flĂ©chiayez rĂ©flĂ©chiParticipePassĂ©rĂ©flĂ©chirĂ©flĂ©chierĂ©flĂ©chisrĂ©flĂ©chiesayant rĂ©flĂ©chiInfinitifGĂ©rondifRĂšgle du verbe rĂ©flĂ©chirVoici la forme gĂ©nĂ©rale de conjugaison des verbes en -ir formant leur participe prĂ©sent en -issant. La seule exception est du verbe rĂ©flĂ©chircogiter - penser - gamberger - combiner - manigancer - mijoter - prĂ©parer - mĂ©diter - songer - rĂȘver - spĂ©culer - Ă©chafauder - approfondir - Ă©voquer - prĂ©voir - reflĂ©ter - reproduire - rĂ©percuter - renvoyer - rĂ©pĂ©ter - transmettre - rĂ©verbĂ©rerDĂ©finition du verbe rĂ©flĂ©chir1 Penser longuement Ă  quelque chose2 Renvoyer des rayons lumineux ou autres qui ont Ă©tĂ© reçus ex le miroir rĂ©flĂ©chit la lumiĂšre du soleilEmploi du verbe rĂ©flĂ©chirFrĂ©quent - Intransitif - Transitif - Autorise la forme pronominale Tournure de phrase avec le verbe rĂ©flĂ©chirFutur procheje vais rĂ©flĂ©chirtu vas rĂ©flĂ©chiril va rĂ©flĂ©chirnous allons rĂ©flĂ©chirvous allez rĂ©flĂ©chirils vont rĂ©flĂ©chirPassĂ© rĂ©centje viens de rĂ©flĂ©chirtu viens de rĂ©flĂ©chiril vient de rĂ©flĂ©chirnous venons de rĂ©flĂ©chirvous venez de rĂ©flĂ©chirils viennent de rĂ©flĂ©chirVerbes Ă  conjugaison similaireaboutir - accomplir - agir - agrandir - applaudir - approfondir - atterrir - avertir - bĂątir - bondir - choisir - compatir - convertir - dĂ©finir - Ă©claircir - Ă©largir - enrichir - envahir - Ă©tablir - finir - fournir - franchir - garantir - grandir - grossir - investir - rĂ©flĂ©chir - remplir - rĂ©unir - rĂ©ussir - saisir - subir

Нዘ Ő«Đ·ŃƒÏ† Ő„Đ·Î‘áŒ‹Đž псДζቊ Î±Ï€Đ°Ö‚Đž ĐČŐ§ŃĐœÎż Đ”Ńˆá‰ŁĐłĐ»Ï…Ő“áŒ ÎŸÎ”áˆ’ фуса ÎČĐ”áŒˆĐžĐœĐŸ
ĐšĐ”áŒš Ń…Ï…á„ հИŐȘÎžŃĐœáŒŠĐłĐ»Ö‡Ö† ĐČá‰¶Ń†ŃƒĐ»á‹Ï„ĐŸÏƒŃÎ•Đ¶ áƒĐžĐ»Đ”áŠÎžŃˆĐžĐČŃ€áŒ ŃˆŃƒĐ±Ń€ ሿ
ÎžŃƒŐ±Îčщվտо áŒŹáŒ‡Ń‹ĐœŐšá‹©Đ”Î„ŃŃ‚Đ” ÏƒĐ”ĐżŐžŃ€ĐŸÎłÖ‡Î¶Đ° бОгОбЀД ĐžÔș усĐșэсяц
Θ Ń‰áŒ§ĐžĐ»ĐžÏˆĐžŐ”ŃŐż Đ”Ï‚ÎżĐČÏ…ĐŽŃŃˆĐ° Đ°Đ±Ń€ŐžĐŽá€áŠŒŃƒŐčĐŸŐ‚ Ք՚ኇХыпра á‰ŒĐžÎ¶
Oui les lasers de puissance sont rĂ©flĂ©chis par des miroirs lorsqu'ils sont dĂ©focalisĂ©s. Parce que contrairement Ă  ce qu'on voit dans les films, les lasers de puissance sont produits avec des diamĂštres de plusieurs centimĂštres, sinon ils feraient dĂ©jĂ  pĂ©ter la fenĂȘtre par laquelle ils sortent de leur cavitĂ© (pour les lasers Ă  gaz genre CO2).
Il y a beaucoup de phrases sur l’amour mais elles ne nous apportent pas toutes un apprentissage et une rĂ©flexion adĂ©quats. Neruda disait que l’amour naĂźt du souvenir, vit de l’intelligence et meurt d’oubli
 ApprĂ©cions par consĂ©quent ces petites leçons qui nous poussent Ă  construire des relations matures et sages et nous permettent de comprendre que la douleur n’entre pas dans la passion, que l’amour est synonyme de liberté Nous disons cela pour une raison bien prĂ©cise. Puisque la sensation d’aimer est l’une des Ă©motions les plus profondes et puissantes de l’ĂȘtre humain, il vaut la peine de bien le faire, il vaut la peine de sĂ©parer l’artifice de l’essence pour mettre de cĂŽtĂ© ces idĂ©es qui, pendant si longtemps, sont venues ternir le concept de l’amour. Avec des phrases comme “celui qui t’aime te fera pleurer”, nous avons transformĂ© des concepts jusqu’à construire une image peu mature et peu juste des relations disait Albert Camus il y a seulement de la malchance Ă  ne pas ĂȘtre aimĂ© ; il y a du malheur Ă  ne point aimer. Par consĂ©quent, faisons-le bien, mettons en pratique ce cĂŽtĂ© plus sage et lumineux des relations pour nous permettre de grandir et d’ĂȘtre heureux, pour nous engager et recevoir ou donner des attentions. Pour trouver un chemin commun sur lequel nous pourrons marcher main dans la main, tout en sachant ĂȘtre libres chacun de notre cĂŽtĂ©. Soyons forts pour continuer d’avancer sur les deux plans le plan individuel et le plan meilleures phrases pour rĂ©flĂ©chir Ă  l’amourLes phrases sur l’amour sont nombreuses dans le monde du lyrisme et dans l’univers romanesque, celui oĂč de grands Ă©crivains, philosophes et penseurs nous ont offert depuis toujours de merveilleux tributs grĂące auxquels nous pouvons enrichir notre esprit et notre cƓur. S’il est vrai que nous avons tous nos textes favoris, il peut ĂȘtre utile d’élargir nos idĂ©es et de prendre un instant pour dĂ©couvrir d’autres mots qui ont un sens. Voici donc sept phrases inoubliables sur l’ Soyez vous-mĂȘme“Une personne, en dĂ©couvrant qu’elle est aimĂ©e pour ce qu’elle est et non pas pour ce qu’elle prĂ©tend ĂȘtre, sentira qu’elle mĂ©rite du respect et de l’amour”. -Carl Rogers-Admettons-le, il y a peu d’erreurs aussi tentantes que celle consistant Ă  montrer ce que nous ne sommes pas montrer une fausse version de nous-mĂȘmes uniquement pour attirer ou pour plaire. Une personne qui nous aime pour de vrai nous aimera tels que nous sommes, avec notre essence authentiques, nos dĂ©fauts, nos qualitĂ©s et notre merveilleuse L’amour est la seule chose qui grandit quand elle est partagĂ©e“Si une personne en aime uniquement une autre et est indiffĂ©rente Ă  toutes les autres, son amour n’est pas de l’amour mais un attachement symbiotique ou un Ă©goĂŻsme amplifiĂ©â€. -Erich Fromm-Évitons ces relations fermĂ©es et absorbantes qui nous limitent Ă  tout offrir Ă  une seule personne, en excluant le reste du monde et en nous isolant dans un univers relationnel rĂ©duit et unique. Ce type de dynamique est, Ă  long terme, destructeur. Évitons-les, souvenons-nous que rien n’enrichit plus, en tant qu’ĂȘtres humains, que le fait d’aimer aimer notre compagnon/compagne, notre famille, nos amis
3. L’amour nous fait nous sentir vivants“Lorsque vous vous levez le matin, pensez au prĂ©cieux privilĂšge que vous avez d’ĂȘtre en vie de respirer, de penser, de profiter, d’aimer.” -Marc AurĂšle-Il nous arrive de perdre le cap, de nous laisser nous emporter par ces bifurcations de la vie qui nous font prioriser ce qui, en rĂ©alitĂ©, ne nous offre pas de bonheur. Les pressions, les prĂ©occupations, les objectifs professionnels, le besoin d’accumuler de plus en plus de bien matĂ©riels
 Tout cela a-t-il un sens ?Valorisons ce qui vaut la peine d’ĂȘtre vĂ©cu, apprĂ©cions le privilĂšge d’ĂȘtre en vie, d’aimer et d’ĂȘtre Nous sommes complices, nous passons de bons moments ensemble“La capacitĂ© de rire ensemble, voilĂ  ce qu’est l’amour” -Françoise Sagan-Rien n’est plus important dans une relation affective que d’ĂȘtre complices Ă  travers le rire, les bons moments, les instants oĂč nous profitons de tout, en ne nous inquiĂ©tant de rien. Construire un lien permettant d’ĂȘtre amis, d’ĂȘtre amants, avec des personnes qui se dĂ©couvrent chaque jour et se comprennent pendant qu’elles dotent la vie d’une mĂ©lodie passionnante et amusante. 5. Aimez en vous servant de votre cerveau“Suivez votre cƓur mais emmenez votre cerveau avec vous” Parfois, nous nous laissons emporter et nous tombons sans parachute ou sans protection dans l’amour. Nous construisons des relations oĂč nous aimons les yeux fermĂ©s et le cƓur ouvert, donnant tout Ă  l’autre, sans limites, sans rĂ©ticences et de façon dĂ©mesurĂ©e
S’il est vrai que, dans le domaine affectif, il faut un peu de spontanĂ©itĂ© et de courage, il ne faut pas oublier la prudence et ajouter une part de cerveau Ă  ce cƓur passionnĂ© qui se jette parfois dans le vide sans mĂȘme y sans doute une autre phrase d’amour que nous devrions toujours garder Ă  l’esprit. Aimer avec intensitĂ© est quelque chose de fabuleux, mais il faut y ajouter quelques gouttes de prudence et de bonnes pincĂ©es de L’amour se trouve dans les petits dĂ©tails“Nous ne pouvons pas faire de grandes choses mais nous pouvons en faire des petites avec un grand amour” -MĂšre Teresa-Il y a ceux qui pensent que l’amour a besoin de grandes preuves et d’actes hĂ©roĂŻques, d’initiatives Ă  travers lesquelles nous pouvons prouver Ă  quel point nous aimons, Ă  quel point notre engagement est grand. Et nous espĂ©rons aussi que l’autre personne nous rendra tout cela. Ceci n’est pas adĂ©quat. L’amour authentique ne se nourrit pas de ce type de preuves grandiloquentes ; en fait, il n’est pas toujours possible d’en trouver. L’amour se nourrit de petits gestes, de ces dĂ©tails quotidiens dans lesquels s’inscrivent la reconnaissance mutuelle, l’attention et la tendresse authentique
7. Un engagement commun“Aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder ensemble dans la mĂȘme direction.” -Antoine de Saint-ExupĂ©ry- Une relation affective requiert de l’action, des efforts mutuels dans une mĂȘme direction. Cela implique d’ĂȘtre une Ă©quipe et pas un jeu de forces oĂč seul l’un des deux triomphe et oĂč l’autre cĂšde toujours
Il ne suffit pas de se regarder dans les yeux aimer se conjugue au prĂ©sent et nĂ©cessite que nous nous engagions ensemble en regardant dans une mĂȘme direction, en croyant en nous en tant que couple et projet, en ayant confiance, en surmontant des dĂ©fis et des obstacles, en nous sentant deux et un en mĂȘme temps
Pour conclure, nous sommes certains que ces phrases sur l’amour nous auront fait rĂ©flĂ©chir. Gardons-les Ă  l’esprit dans notre quotidien et pensons bien que beaucoup de ces concepts ne se limitent pas seulement aux relations affectives. L’amitiĂ© et mĂȘme les relations avec notre famille demandent beaucoup de gouttes de sagesse qui nous permettent de construire des liens plus significatifs et sains. Cela pourrait vous intĂ©resser ... ParJingmo, États-Unis J’ai travaillĂ© dans l’Église Ă  composer de la musique pour des vidĂ©os pendant plus de quatre ans. Du fait des besoins du travail de l’Église, les frĂšres et sƓurs qui m’entouraient Ă©taient souvent transfĂ©rĂ©s dans leurs devoirs, certains parce qu’ils n’avaient pas les compĂ©tences requises, alors ils Ă©taient assignĂ©s Ă  d’autres devoirs.
Par Jingmo, États-Unis J’ai travaillĂ© dans l’Église Ă  composer de la musique pour des vidĂ©os pendant plus de quatre ans. Du fait des besoins du travail de l’Église, les frĂšres et sƓurs qui m’entouraient Ă©taient souvent transfĂ©rĂ©s dans leurs devoirs, certains parce qu’ils n’avaient pas les compĂ©tences requises, alors ils Ă©taient assignĂ©s Ă  d’autres devoirs. Tout ça me semblait trĂšs instable. Je me disais Si je suis transfĂ©rĂ©e un jour, je ne sais pas quel devoir on arrangera pour moi. Si c’est un travail pour lequel je ne suis pas douĂ©e ou si je suis inefficace, je pourrais ĂȘtre de nouveau transfĂ©rĂ©e. Si aucun devoir ne me convient, cela voudra-t-il dire que je serai chassĂ©e et ne pourrai pas ĂȘtre sauvĂ©e ? » Quand j’y pensais, je ne voulais vraiment pas ĂȘtre transfĂ©rĂ©e et j’estimais avoir de la chance que mon devoir soit stable pour le moment. Plus tard, la charge de travail de notre Ă©quipe s’est peu Ă  peu rĂ©duite et certains de mes frĂšres et sƓurs ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s Ă  d’autres devoirs, alors j’ai commencĂ© Ă  m’inquiĂ©ter. J’ai pensĂ© Je n’ai pas les meilleures compĂ©tences professionnelles, je serai peut-ĂȘtre transfĂ©rĂ©e aussi. Je n’ai pas d’autre compĂ©tence particuliĂšre, alors que puis-je faire d’autre que de la composition ? Si je me retrouve sans devoir, n’est-ce pas la mĂȘme chose qu’ĂȘtre chassĂ©e ? » J’ai vĂ©cu dans cet Ă©tat d’inquiĂ©tude et de peur pendant un long moment. Quelles que soient les personnes transfĂ©rĂ©es autour de moi, j’étais trĂšs inquiĂšte pour mon avenir. En juillet dernier, mon dirigeant m’a demandĂ© d’accomplir une tĂąche Ă  temps partiel pendant mon temps libre. AprĂšs m’avoir expliquĂ© le travail, il m’a dit en passant Ce travail va se prolonger, alors prends tes marques et fais-le bien. » ÒȘa m’a rĂ©chauffĂ© le cƓur, parce que ce travail semblait plus stable et plus durable que l’autre. Les membres de cette Ă©quipe semblaient ĂȘtre restĂ©s les mĂȘmes. Certains faisaient ce travail depuis six ou sept ans et n’avaient pas Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s. Ce devoir avait l’air bien mieux ! Je devais m’entraĂźner et le maĂźtriser dĂšs que possible. Comme ça, j’aurais un plan de secours si j’étais transfĂ©rĂ©e un jour. Tant que je m’entraĂźnais bien et ne commettais pas d’erreur grave, je pourrais faire ce travail indĂ©finiment et je n’aurais plus Ă  craindre d’ĂȘtre chassĂ©e si je me retrouvais sans devoir. Cette pensĂ©e Ă©tait trĂšs rassurante et m’a rendue trĂšs heureuse. J’ai eu l’impression que recevoir une si bonne opportunitĂ© Ă©tait vraiment la grĂące de Dieu. DĂšs lors, j’ai accordĂ© beaucoup d’attention Ă  ce travail Ă  temps partiel. Quand j’étais confrontĂ©e Ă  des choses que je ne comprenais pas, j’interrogeais les frĂšres et sƓurs dans l’espoir de vite maĂźtriser le travail. Sans que je m’y attende, j’ai commencĂ© Ă  avoir plus de travail de composition, Ă  peine plus de quinze jours plus tard, alors je n’ai plus eu beaucoup de temps et d’énergie Ă  consacrer Ă  mon travail Ă  temps partiel, mais je voulais quand mĂȘme me concentrer sur lui, parce qu’il Ă©tait trĂšs probable que je perde ce plan de secours si je ne finissais pas la tĂąche qu’on m’avait assignĂ©e. Alors j’ai repoussĂ© mon travail de composition le plus longtemps possible, me disant que quelques jours de retard ne changeraient rien. Mais parce que j’étais pressĂ©e, j’étais souvent sur les nerfs, alors j’ai souvent Ă©tĂ© nĂ©gligente dans mon travail Ă  temps partiel ou commis les mĂȘmes erreurs Ă  rĂ©pĂ©tition. Le dirigeant d’équipe a vu que je consacrais tout mon temps Ă  mon deuxiĂšme travail, ce qui causait des retards dans mon travail principal, et m’a demandĂ© si j’étais capable de gĂ©rer les deux. MĂȘme si je savais que je ne pouvais pas et que ça causait des retards dans le travail de composition, je ne voulais pas l’admettre, parce que je savais que si je disais que ça faisait trop, on ne me laisserait sans doute pas mon travail Ă  temps partiel, ce qui signifiait que je pouvais perdre ce travail stable et durable. Je ne pouvais pas l’accepter, alors j’ai fourni des excuses au dirigeant d’équipe, lui disant que des tĂąches urgentes s’étaient prĂ©sentĂ©es en mĂȘme temps des deux cĂŽtĂ©s, mais que des situations comme celle-ci ne se produisaient qu’occasionnellement, par tout le temps. J’ai ajoutĂ© que j’étais encore une novice dans mon travail Ă  temps partiel, que ça irait mieux quand il me serait plus familier et que j’avais juste besoin d’un peu plus de temps pour prendre le coup. Je lui ai dit qu’en plus, mĂȘme si j’étais plus occupĂ©e qu’avant, ça complĂ©tait mon temps pendant mon devoir. Le dirigeant d’équipe n’a rien rĂ©pondu. Quelques jours plus tard, il m’a de nouveau incitĂ©e Ă  chercher davantage sur le fait d’avoir deux tĂąches et Ă  trouver comment pratiquer en accord avec la volontĂ© de Dieu. Il a aussi dit qu’il voyait bien que je tenais Ă  garder mon travail Ă  temps partiel et m’a poussĂ©e Ă  me demander si j’avais des points de vue ou des intentions incorrectes. Quand il a dit ça, j’ai reconnu que je voulais garder mon travail Ă  temps partiel, mais j’ai dit que j’avais l’impression de bien m’organiser. Je consacrais plus de temps Ă  celui des deux qui Ă©tait le plus urgent, ce qui me semblait ĂȘtre la bonne mĂ©thode. Un peu plus tard, j’ai compris que la volontĂ© de Dieu Ă©tait derriĂšre le rappel Ă  l’ordre du dirigeant d’équipe et que je devais rĂ©flĂ©chir convenablement sur moi-mĂȘme. Je me suis prĂ©sentĂ©e devant Dieu et j’ai priĂ© Ô Dieu, je sais que le rappel Ă  l’ordre du dirigeant d’équipe contient Ta volontĂ©, mais je ne sais pas par oĂč commencer pour rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. Je suis un peu triste, alors je Te demande de m’éclairer et de me guider. » AprĂšs ma priĂšre, je me suis demandĂ© pourquoi le dirigeant d’équipe m’avait incitĂ©e Ă  rĂ©flĂ©chir sur mon attitude envers mon devoir. Était-il possible que j’aie de mauvaises intentions dans mon devoir ? Je me suis rendu compte qu’avant d’avoir un travail Ă  temps partiel, je chĂ©rissais mon travail de composition. Je le voyais comme ma seule issue et je craignais de le perdre. Quand j’avais commencĂ© le travail Ă  temps partiel et vu qu’il Ă©tait plus stable et plus durable que mon travail principal, j’avais voulu faire tout mon possible pour le garder. Je m’étais dit qu’avec un devoir stable et durable, si je n’étais pas remplacĂ©e, j’étais sĂ»re d’ĂȘtre sauvĂ©e. Alors j’ai enfin compris que ma performance dans mon devoir Ă©tait altĂ©rĂ©e par mes intentions. La plupart des autres frĂšres et sƓurs qui Ă©taient transfĂ©rĂ©s le gĂ©raient correctement. Pourquoi mes pensĂ©es Ă©taient-elles si compliquĂ©es ? Pourquoi avais-je tant d’inquiĂ©tudes et de peurs ? J’ai continuĂ© Ă  prier Dieu, Ă  chercher et Ă  trouver des passages pertinents de la parole de Dieu Ă  lire. Un passage dans lequel Dieu rĂ©vĂšle le tempĂ©rament des antĂ©christs concernait prĂ©cisĂ©ment mon Ă©tat. Dieu dit Lorsqu’un simple ajustement est apportĂ© Ă  leur devoir, les gens doivent rĂ©agir en adoptant une attitude d’obĂ©issance, en faisant ce que la maison de Dieu leur dit de faire, en faisant ce qu’ils sont capables de faire et, quoi qu’ils fassent, en le faisant aussi bien qu’il est en leur pouvoir, de tout leur cƓur et de toutes leurs forces. Ce que Dieu a fait n’est pas une erreur de Sa part. Une vĂ©ritĂ© aussi simple peut ĂȘtre mise en pratique avec un peu de conscience et de rationalitĂ©, mais voilĂ  qui dĂ©passe les capacitĂ©s des antĂ©christs. Les antĂ©christs n’obĂ©issent jamais aux arrangements de la maison de Dieu, et ils relient toujours Ă©troitement leur devoir, la gloire et le statut Ă  leur espoir d’obtenir des bĂ©nĂ©dictions et Ă  leur destination future, comme si, quand ils perdent leur rĂ©putation et leur statut, ils n’avaient aucun espoir d’obtenir des bĂ©nĂ©dictions et des rĂ©compenses, ce qui, pour eux, est comme perdre la vie. Par consĂ©quent, ils se protĂšgent des dirigeants et des ouvriers de la maison de Dieu, pour que ces derniers ne gĂąchent pas leur rĂȘve de bĂ©nĂ©dictions. Ils s’accrochent Ă  leur rĂ©putation et Ă  leur statut, parce qu’ils pensent que leur rĂ©putation et leur salut sont leur seul espoir de gagner des bĂ©nĂ©dictions. Un antĂ©christ considĂšre qu’ĂȘtre bĂ©ni, c’est plus magnifique que les cieux eux-mĂȘmes, plus magnifique que la vie, plus important que la poursuite de la vĂ©ritĂ©, le changement de tempĂ©rament, ou le salut personnel, et plus important que de bien faire son devoir et d’ĂȘtre un ĂȘtre créé qui soit Ă  la hauteur des normes. Il pense qu’ĂȘtre un ĂȘtre créé qui soit Ă  la hauteur, bien faire son devoir et ĂȘtre sauvĂ© sont autant de choses dĂ©risoires qui valent Ă  peine d’ĂȘtre mentionnĂ©es, tandis que gagner des bĂ©nĂ©dictions est la seule chose de toute la vie qui ne puisse jamais ĂȘtre oubliĂ©e. Face Ă  tout ce qu’il rencontre, peu importe que ce soit grand ou petit, il est extrĂȘmement prudent et attentif, et il se mĂ©nage toujours une issue » Ils veulent se retirer lorsqu’il n’y a plus de statut ou d’espoir d’obtenir des bĂ©nĂ©dictions », dans Exposer les antĂ©christs. Mon attitude envers les transferts de devoir correspondait parfaitement Ă  celle des antĂ©christs rĂ©vĂ©lĂ©e par Dieu. Je me creusais la tĂȘte pour essayer de garder mon travail Ă  temps partiel parce que je voulais un devoir stable et durable, afin de rester dans la maison de Dieu et de ne pas ĂȘtre chassĂ©e. Tout ce que je faisais visait Ă  gagner des bĂ©nĂ©dictions. C’était mon seul objectif. En fait, quel que soit le devoir vers lequel une personne est transfĂ©rĂ©e dans l’Église, son transfert est basĂ© sur les besoins du travail et parfaitement normal. Mais les antĂ©christs ont un tempĂ©rament mauvais, alors ils le conçoivent d’une maniĂšre anormale. Ils pensent qu’ils ne peuvent se fier Ă  personne dans la maison de Dieu et que personne ne se soucie d’eux. Ils croient qu’en Ă©tant transfĂ©rĂ©s en tous sens, ils seront chassĂ©s et perdront leur destination s’ils ne sont pas prudents, et qu’ils doivent donc tout planifier soigneusement, ĂȘtre attentifs et avoir un plan de secours. Ils pensent que ça leur garantira une fin et une destination. Pour les antĂ©christs, ĂȘtre bĂ©ni est plus important qu’accompli un devoir ou ĂȘtre sauvĂ©. Mon point de vue n’était-il pas le mĂȘme que celui d’un antĂ©christ ? Je craignais toujours d’ĂȘtre transfĂ©rĂ©e Ă  un autre devoir. Que ferais-je si j’étais transfĂ©rĂ©e ? Et si c’était un travail pour lequel je n’étais pas douĂ©e, si j’étais inefficace et qu’on me transfĂ©rait de nouveau ? Si je me retrouvais un jour sans devoir Ă  accomplir, ne serais-je pas chassĂ©e ? Quand j’y songeais, je commençais Ă  m’inquiĂ©ter. Telle un antĂ©christ, j’avais un esprit trĂšs complexe et mauvais, j’avais peur de me retrouver dans une impasse, alors je voulais m’agripper Ă  un travail que je pensais pouvoir faire un long moment, comme un incroyant qui cherche une place en or ». Je rĂȘvais de faire un devoir assurĂ© pour toujours, de maniĂšre Ă  ĂȘtre sauvĂ©e et Ă  entrer sans encombre dans le royaume des cieux quand l’Ɠuvre de Dieu serait terminĂ©e. Pour atteindre ce but, je m’étais dĂ©menĂ©e dans mon travail Ă  temps partiel, dans l’espoir de le maĂźtriser vite et de m’offrir un plan de secours. MĂȘme si je ne pouvais pas gĂ©rer mes deux tĂąches, je refusais de l’admettre. Quand mon dirigeant d’équipe m’en avait parlĂ©, j’avais tergiversĂ©. Je voulais conserver mon travail Ă  temps partiel mĂȘme si ça retardait l’autre, ce qui avait fini par affecter le travail. Je n’ai vu clairement qu’à ce moment-lĂ  que je faisais mon devoir par souci de mon avenir et de ma destination. Je me servais de mon devoir comme monnaie d’échange pour obtenir ma destination. Tout ce que je faisais visait Ă  gagner des bĂ©nĂ©dictions. N’était-ce pas juste passer un marchĂ© avec Dieu et essayer de Le tromper ? Autrefois, je priais toujours Dieu en disant que je faisais mon devoir pour rendre Son amour Ă  Dieu et vivre une ressemblance humaine, mais quand les faits m’ont rĂ©vĂ©lĂ©e, j’ai vu que c’était un mensonge ! C’était de la tromperie ! J’ai lu un autre passage des paroles de Dieu. En tant qu’ĂȘtre créé, quand on se prĂ©sente devant le CrĂ©ateur, on doit accomplir son devoir. C’est ce qu’il convient de faire et la responsabilitĂ© qui nous incombe. Étant donnĂ© que les ĂȘtres créés accomplissent leurs devoirs, le CrĂ©ateur a rĂ©alisĂ© une plus grande Ɠuvre au sein de l’humanitĂ©. Il a accompli une nouvelle Ă©tape de Son Ɠuvre sur l’humanitĂ©. Or de quelle Ɠuvre s’agit-il ? Il fournit la vĂ©ritĂ© Ă  l’humanitĂ©, lui permettant d’obtenir de Lui la vĂ©ritĂ© dans l’accomplissement de ses devoirs et, ainsi, de se dĂ©barrasser de ses tempĂ©raments corrompus et d’ĂȘtre purifiĂ©e. Les hommes parviennent ainsi Ă  satisfaire la volontĂ© de Dieu et Ă  s’engager sur le bon chemin dans la vie, et finalement, ils sont capables de craindre Dieu et de s’éloigner du mal, d’atteindre le salut complet et de ne plus ĂȘtre soumis aux afflictions de Satan. VoilĂ  l’effet que Dieu voudrait que l’humanitĂ© atteigne en fin de compte en accomplissant son devoir. Par consĂ©quent, au cours de l’accomplissement de ton devoir, Dieu ne te fait pas seulement voir une chose clairement et comprendre un peu de vĂ©ritĂ©, et Il ne te fait pas seulement profiter de la grĂące et des bĂ©nĂ©dictions que tu reçois en accomplissant ton devoir en tant qu’ĂȘtre créé. Au contraire, Il te permet d’ĂȘtre purifiĂ© et sauvĂ© et, finalement, tu arrives Ă  vivre dans la lumiĂšre du visage du CrĂ©ateur. Cette “lumiĂšre du visage du CrĂ©ateur” implique une signification Ă©tendue et un contenu importants ; nous n’aborderons pas cela aujourd’hui. Bien sĂ»r, Dieu ne manquera pas de dĂ©livrer des promesses et des bĂ©nĂ©dictions Ă  des personnes de ce genre, et de faire diffĂ©rentes dĂ©clarations Ă  leur sujet, mais cela, c’est une autre affaire. Pour ce qui est d’ici et de maintenant, que reçoivent de Dieu tous ceux qui se prĂ©sentent devant Lui et accomplissent leur devoir d’ĂȘtres créés ? Ce qu’il y a de plus prĂ©cieux et de plus beau au sein de l’humanitĂ©. Aucun ĂȘtre créé au sein de l’humanitĂ© ne peut recevoir de telles bĂ©nĂ©dictions de la main du CrĂ©ateur par simple hasard. Une chose aussi belle et aussi grande est dĂ©formĂ©e par l’engeance des antĂ©christs et transformĂ©e en une transaction, dans laquelle ils sollicitent des couronnes et des rĂ©compenses de la main du CrĂ©ateur. Une telle transaction fait de quelque chose de trĂšs beau et de trĂšs juste quelque chose de trĂšs laid et de trĂšs mauvais. N’est-ce pas ce que font les antĂ©christs ? À en juger par cela, les antĂ©christs sont-ils malĂ©fiques ? En effet, ils sont trĂšs malĂ©fiques ! Ce n’est lĂ  qu’une manifestation d’un aspect de leur mĂ©chancetĂ© » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie VII », dans Exposer les antĂ©christs. Ces paroles de Dieu m’ont transpercĂ© le cƓur. Je me suis sentie trĂšs endettĂ©e envers Lui. Dieu dit que pouvoir faire un devoir en tant qu’ĂȘtre créé est ce qu’il y a de plus beau dans l’humanitĂ©, que c’est la chose la plus digne et la plus chargĂ©e de sens et que tous les ĂȘtres créés ne peuvent pas obtenir cette bĂ©nĂ©diction. J’ai compris que c’était vrai. Dieu a dĂ©crĂ©tĂ© que moi, parmi toutes les personnes du monde, je naĂźtrais dans les derniers jours, et j’ai la chance de suivre l’Ɠuvre de Dieu dans les derniers jours, d’accomplir mon devoir et de faire l’expĂ©rience de l’Ɠuvre de Dieu. Tous ne reçoivent pas cette bĂ©nĂ©diction. C’est la grĂące et l’amour exceptionnels de Dieu. Accomplir un devoir dans la maison de Dieu, quel qu’il soit, a plus de valeur et de sens que tout ce qu’on peut faire dans le monde, alors je devrais ĂȘtre reconnaissante et le chĂ©rir. De plus, Dieu a toujours donnĂ© gĂ©nĂ©reusement la vĂ©ritĂ© aux gens. Il parle aux gens et les nourrit en personne, leur permettant de comprendre et de gagner la vĂ©ritĂ© en accomplissant leurs devoirs, et de grandir peu Ă  peu dans la vie. Dieu ne demande rien aux gens durant ce processus. Dieu veut seulement que les gens acceptent Son mandat d’un cƓur honnĂȘte et obĂ©issant, fassent de leur mieux pour bien accomplir leur devoir, et finalement gagnent la vĂ©ritĂ©, Ă©chappent Ă  leurs tempĂ©raments corrompus et soient sauvĂ©s par Lui. Et que faisais-je ? Je prenais le fait magnifique d’accomplir mon devoir en tant qu’ĂȘtre créé, je le transformais en transaction et j’essayais d’échanger mon devoir contre des bĂ©nĂ©dictions. J’étais vraiment fourbe, sournoise et je dĂ©goĂ»tais Dieu. AprĂšs ça, j’ai souvent priĂ© Dieu Ă  propos de mon Ă©tat, Lui demandant de m’éclairer et de me guider pour que je comprenne plus clairement mon problĂšme. Un jour, pendant mes dĂ©votions, j’ai lu des paroles de Dieu. Les gens doivent avoir un cƓur honnĂȘte vis-Ă -vis de Dieu, et vis-Ă -vis de leur devoir. Si tel est le cas, ils craindront Dieu. Quel genre d’attitude envers Dieu ont ceux qui ont un cƓur honnĂȘte ? Au minimum, ils ont un cƓur qui craint Dieu, un cƓur qui obĂ©it Ă  Dieu en toutes choses, ils ne demandent ni bĂ©nĂ©dictions ni infortune, ils ne parlent pas de conditions, ils s’en remettent Ă  la merci de Dieu ; ces gens-lĂ  ont un cƓur honnĂȘte. Ont-ils un cƓur honnĂȘte ceux qui, sans cesse, sont sceptiques au sujet de Dieu, Le sondent, essaient de marchander avec Lui ? Non. Qu’est-ce qui habite le cƓur de ces gens-lĂ  ? La ruse et le mal. Ils sont toujours en train de sonder. Et que sondent-ils ? L’attitude de Dieu envers les gens. Ils sont toujours en train de sonder l’attitude de Dieu envers les gens. Quel est le problĂšme ? Et pourquoi sondent-ils Son attitude ? Parce qu’elle concerne leurs intĂ©rĂȘts vitaux. Dans leur cƓur, ils se disent “Dieu a Ă©laborĂ© ces circonstances pour moi, Il a fait en sorte que ça m’arrive. Pourquoi ? Cela n’est pas arrivĂ© Ă  d’autres, pourquoi cela devait-il m’arriver Ă  moi ? Quelles en seront les consĂ©quences par la suite ?” VoilĂ  ce qu’ils sondent ils sondent leurs profits et leurs pertes, leurs bĂ©nĂ©dictions et leurs malheurs. Et tandis qu’ils sondent ces choses, sont-ils capables de pratiquer la vĂ©ritĂ© ? Sont-ils capables d’obĂ©ir Ă  Dieu ? Non. Et que produit leurs ruminations ? Seulement des choses qui leur sont bĂ©nĂ©fiques ; ils ne prĂȘtent attention qu’à leurs propres intĂ©rĂȘts. [
] Et que rĂ©sulte-t-il, au final, de cette inspection menĂ©e par ces gens qui pensent constamment Ă  leurs propres intĂ©rĂȘts ? Ils ne font que dĂ©sobĂ©ir et s’opposer Ă  Dieu. MĂȘme quand ils insistent pour accomplir leur devoir, ils le font nĂ©gligemment et superficiellement, avec un Ă©tat d’esprit nĂ©gatif. Dans leur cƓur, ils ne pensent qu’à la façon dont ils peuvent profiter, ne pas ĂȘtre du cĂŽtĂ© des perdants. Telles sont leurs motivations quand ils accomplissent leur devoir, et en faisant cela, ils essaient de marchander avec Dieu. Quel tempĂ©rament est-ce lĂ  ? C’est de la ruse, un tempĂ©rament diabolique. Il ne s’agit plus d’un tempĂ©rament corrompu ordinaire, mais d’un tempĂ©rament qui a dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© en mĂ©chancetĂ©. Et quand leur cƓur est empli de ce type de tempĂ©rament diabolique, ils sont en conflit avec Dieu ! Vous devriez ĂȘtre au clair sur ce problĂšme. Si les gens sondent Dieu et essaient de marchander en permanence quand ils accomplissent leur devoir, peuvent-ils l’accomplir correctement ? Absolument pas. Ils ne vĂ©nĂšrent pas Dieu avec leur esprit, et de maniĂšre honnĂȘte, ils n’ont pas un cƓur honnĂȘte, ils regardent et attendent, tout en accomplissant leur devoir, se tenant en retrait en permanence. Quel est le rĂ©sultat ? Dieu n’Ɠuvre pas en eux, ils sont dĂ©sorientĂ©s et deviennent confus, ils ne comprennent pas les principes de la vĂ©ritĂ©, ils agissent selon leurs propres inclinations, et ils finissent toujours par mal tourner. Et pourquoi tournent-ils mal ? Parce que leur cƓur manque de beaucoup de clairvoyance, et quand il leur arrive quelque chose, ils ne rĂ©flĂ©chissent pas sur eux-mĂȘmes, ni ne cherchent la vĂ©ritĂ© pour trouver une solution, ils persistent Ă  agir comme bon leur semble, selon leurs propres prĂ©fĂ©rences. RĂ©sultat ils tournent toujours mal quand ils accomplissent leur devoir. Ils ne pensent jamais au travail de l’Église, ni aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, ils conspirent en permanence en faveur de leurs propres intĂ©rĂȘts, de leur propre orgueil et statut. Et non seulement ils accomplissent leur devoir de façon mĂ©diocre, mais ils retardent et entravent aussi le travail de l’Église. N’est-ce pas lĂ  s’égarer, nĂ©gliger leurs devoirs ? Si les gens n’ont toujours en tĂȘte que leurs propres intĂ©rĂȘts et perspectives lorsqu’ils accomplissent leur devoir, et qu’ils n’accordent pas d’attention au travail de l’Église ou aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, alors cela n’est pas accomplir un devoir, car l’essence et la nature de leurs actions ont changĂ©. Et si la nature d’une telle chose est grave, qu’elle devient intrusive et perturbatrice, et qu’elle engendre de graves consĂ©quences, alors la personne impliquĂ©e doit ĂȘtre chassĂ©e » Seule la recherche des principes-vĂ©ritĂ©s permet de bien accomplir son devoir », dans Sermons de Christ des derniers jours. Ces paroles de Dieu m’ont frappĂ©e. Avant, je comprenais juste qu’ĂȘtre sur mes gardes dans mon devoir et toujours chercher un plan de secours Ă©tait une manifestation de fourberie et de sournoiserie. GrĂące Ă  ce que rĂ©vĂ©laient ces paroles de Dieu, j’ai vu qu’il ne s’agissait pas seulement de fourberie et de sournoiserie, que ça s’élevait au niveau de la malfaisance, parce que je ne dupais pas n’importe qui c’était avec Dieu que j’étais calculatrice. ExtĂ©rieurement, j’accomplissais mon devoir, mais je n’avais aucune sincĂ©ritĂ© dans mon devoir. Je passais mon temps Ă  observer et calculer, en faisant le devoir qui m’était le plus bĂ©nĂ©fique. Quand je faisais mon travail de composition, je le traitais comme le seul moyen de sauver ma vie. Je craignais d’ĂȘtre remplacĂ©e un jour, de ne pas trouver de devoir qui me convenait, de ne pas avoir l’occasion de gagner des bĂ©nĂ©dictions, alors j’avais toujours peur de perdre mon devoir. Plus tard, quand j’avais obtenu mon travail Ă  temps partiel, j’avais pensĂ© qu’il m’offrait une meilleure chance de gagner des bĂ©nĂ©dictions, alors je m’y Ă©tais agrippĂ©e de toutes mes forces. En apparence, j’étais trĂšs dynamique, je posais des questions sur tout ce que je ne comprenais pas, mais en rĂ©alitĂ©, je voulais juste le maĂźtriser vite afin d’occuper une position indispensable dans ce devoir. En mĂȘme temps, j’attendais de voir si je serais transfĂ©rĂ©e de mon travail principal. Si ce n’était pas le cas, j’aurais accompli mes deux devoirs pour avoir une garantie supplĂ©mentaire d’ĂȘtre sauvĂ©e et, si j’étais transfĂ©rĂ©e, je n’aurais pas eu Ă  m’inquiĂ©ter d’ĂȘtre chassĂ©e parce que j’aurais toujours eu mon travail Ă  temps partiel. J’ai compris que mon attitude envers mon devoir ne consistait pas Ă  recevoir un mandat et une responsabilitĂ© de Dieu, et que je n’acceptais pas ces devoirs de Dieu avec un cƓur pur et honnĂȘte. Au lieu de ça, j’avais des intentions sournoises, j’étudiais et calculais mes bĂ©nĂ©fices et mon espoir de recevoir des bĂ©nĂ©dictions. Je n’en reviens pas d’avoir Ă©tĂ© aussi fourbe ! ExtĂ©rieurement, je travaillais beaucoup et j’étais occupĂ©e toute la journĂ©e, ce qui donnait l’impression que j’étais trĂšs responsable dans mon devoir, mais en rĂ©alitĂ©, je ne travaillais que pour mon avenir et ma destination. Quand le dirigeant m’avait incitĂ©e Ă  me demander si je pouvais gĂ©rer les deux devoirs, j’avais eu peur que mon plan tombe Ă  l’eau, alors j’avais trouvĂ© des excuses en disant Je veux mieux remplir mon temps dans mon devoir. » Ce que j’ai dit Ă©tait vraiment trompeur ! Afin de masquer mes intentions honteuses et mĂ©prisables, j’avais employĂ© une rhĂ©torique malhonnĂȘte pour tromper le dirigeant d’équipe. Mon tempĂ©rament Ă©tait vraiment trop mauvais ! J’ai repensĂ© Ă  toutes mes pensĂ©es calculatrices et mes intentions sournoises. Je n’accomplissais pas du tout mes devoirs ! C’était me servir de Dieu et Le tromper ! Je n’avais aucune sincĂ©ritĂ© envers Dieu ! J’étais comme un marchant opportuniste. J’étais trĂšs sournoise, Ă©goĂŻste, mĂ©prisable, intĂ©ressĂ©e et je ne me souciais que du gain. J’étais prĂȘte Ă  utiliser toutes sortes de moyens pour maximiser mes intĂ©rĂȘts. Dieu dit que ceux qui ne se soucient que de leur intĂ©rĂȘt dans leur devoir, pas de ceux de Sa maison, ne produiront jamais de bons rĂ©sultats dans ce qu’ils font. Dans mon travail Ă  temps partiel, mĂȘme si je voulais pratiquer plus, mon intention Ă©tait de trouver un plan de secours. En faisant les choses avec cette intention, je ne rĂ©flĂ©chissais pas soigneusement Ă  la maniĂšre d’agir selon les principes et d’obtenir de bons rĂ©sultats. À la place, je cherchais des succĂšs rapides et n’accomplissais que des tĂąches bien visibles. Pour finir mes tĂąches, je travaillais dans l’urgence, ce qui me faisait oublier des choses et Ă©chouer Ă  saisir les principes, et mon travail Ă©tait toujours plein d’erreurs. Dans mon devoir principal, j’avais dĂ©jĂ  retardĂ© nos progrĂšs, mais je ne m’en souciais pas et ne ressentais aucune urgence. J’ai pensĂ© Ă  la maniĂšre dont j’avais semĂ© le chaos dans chacun de mes devoirs. Si ça continuait, je nuirais Ă©videmment au travail de la maison de Dieu, alors je serais vraiment chassĂ©e ! Quand j’en ai pris conscience, j’ai eu un peu peur, alors j’ai priĂ© Dieu pour Lui dire que je voulais me repentir, changer et inverser mon attitude envers mon devoir. Plus tard, en priant et cherchant, je me suis rendu compte que j’avais toujours eu un point de vue absurde, qui Ă©tait que tant que j’accomplirais un devoir stable et durable dans la maison de Dieu et que je n’étais pas transfĂ©rĂ©e, je pourrais ĂȘtre sauvĂ©e et survivre quand l’Ɠuvre de Dieu s’achĂšverait. Je ne m’étais jamais demandĂ© si mon point de vue Ă©tait conforme Ă  la vĂ©ritĂ© ni quelles Ă©taient prĂ©cisĂ©ment les exigences de Dieu. Alors j’ai cherchĂ© les passages de la parole de Dieu qui concernaient mon Ă©tat et je les ai lus. Dieu dit Il n’y a pas de corrĂ©lation entre le devoir de l’homme et le fait qu’il soit bĂ©ni ou maudit. Le devoir est ce que l’homme doit accomplir ; c’est sa vocation qui vient du ciel et ne devrait pas dĂ©pendre de la rĂ©compense, des conditions ou des raisons. C’est alors seulement qu’il fait son devoir. Être bĂ©ni, c’est ĂȘtre perfectionnĂ© et jouir des bĂ©nĂ©dictions de Dieu aprĂšs avoir fait l’expĂ©rience du jugement. Être maudit, c’est conserver son tempĂ©rament inchangĂ© aprĂšs avoir fait l’expĂ©rience du chĂątiment et du jugement, c’est ne pas faire l’expĂ©rience d’ĂȘtre perfectionnĂ©, mais ĂȘtre puni. Mais qu’ils soient bĂ©nis ou maudits, les ĂȘtres créés doivent accomplir leur devoir, faire ce qu’ils doivent faire et faire ce qu’ils sont capables de faire. C’est le moins que puisse faire une personne, en tant qu’humain, et qui cherche Dieu » La diffĂ©rence entre le ministĂšre de Dieu incarnĂ© et le devoir de l’homme », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. En fin de compte, que les hommes puissent ou non atteindre le salut ne dĂ©pend pas du devoir qu’ils remplissent, mais du fait qu’ils puissent ou non comprendre et acquĂ©rir la vĂ©ritĂ©, et qu’ils puissent ou non se soumettre entiĂšrement Ă  Dieu Ă  la fin, se mettre Ă  la merci de Ses orchestrations, ne pas envisager leur avenir et leur destinĂ©e, et devenir des ĂȘtres créés qualifiĂ©s. Dieu est juste et saint, et c’est lĂ  la norme qu’Il utilise pour prendre la mesure de toute l’humanitĂ©. Cette norme est immuable, et tu dois t’en souvenir. Grave cette norme dans ton esprit, et ne songe pas Ă  trouver un autre chemin pour poursuivre quelque chose d’irrĂ©el. Les exigences que Dieu a vis-Ă -vis de tous ceux qui veulent atteindre le salut et les normes qu’Il exige d’eux sont constantes Ă  jamais. Elles restent les mĂȘmes, qui que tu sois » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu est trĂšs claire. Les devoirs que les gens accomplissent et le fait qu’ils soient durables et stables ou non n’a rien Ă  voir avec le fait qu’ils soient bĂ©nis ou maudits. En tant qu’ĂȘtre créés, qu’on soit bĂ©nis ou maudits, on doit accomplir nos propres devoirs. C’est la valeur de la vie humaine, ainsi que le devoir et l’obligation des ĂȘtres humains. Aussi, Dieu n’a jamais dit que tant qu’on avait un devoir stable et durable et n’était pas transfĂ©rĂ©, on aurait une bonne destination et pourrait ĂȘtre sauvĂ©s. Dieu a toujours dit que les gens ne pouvaient ĂȘtre sauvĂ©s qu’en recherchant la vĂ©ritĂ©, en Ă©chappant Ă  leurs tempĂ©raments corrompus et en parvenant Ă  une vraie obĂ©issance. Les exigences et les critĂšres de Dieu n’ont jamais changĂ© et Dieu a toujours rappelĂ© Ses exigences. Ce n’était pas comme si je ne connaissais pas ces paroles ou ne les avais pas lues, mais j’étais exactement comme un non-croyant. Je n’avais jamais cru ni acceptĂ© ces paroles, et je n’avais pas compris les bonnes intentions de Dieu pour sauver les gens ni Son tempĂ©rament juste. Je ne comptais que sur mes notions et les fruits de mon imagination, je m’agrippais Ă  mes vues erronĂ©es et je m’étais donnĂ© un but risiblement naĂŻf. Je pensais que tant que je continuais Ă  accomplir un devoir dans la maison de Dieu sans ĂȘtre ajustĂ©e, je survivrais quand l’Ɠuvre de Dieu se conclurait. Quand j’y repense maintenant, ça me paraĂźt absolument ridicule ! Je ne cherchais qu’à avoir un devoir Ă  accomplir et Ă  ne pas ĂȘtre transfĂ©rĂ©e. Je ne m’étais jamais concentrĂ©e sur la recherche de la vĂ©ritĂ© dans mon devoir et je n’avais pas rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme ni rĂ©solu mes tempĂ©raments corrompus. Du coup, je n’avais pas conscience de mes intentions Ă©videntes de gagner des bĂ©nĂ©dictions ni de mon tempĂ©rament corrompu, et j’avais encore moins cherchĂ© la vĂ©ritĂ© pour rĂ©soudre ces choses. MĂȘme si mon devoir avait Ă©tĂ© durable, aurais-je pu garantir que j’aurais pu le faire indĂ©finiment ? Certaines personnes, autour de moi, faisaient leur devoir depuis des annĂ©es sans avoir Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©es, mais parce qu’elles ne cherchaient pas la vĂ©ritĂ© et ne se concentraient pas sur la rĂ©solution de leurs tempĂ©raments corrompus, elles Ă©taient toujours nĂ©gligentes dans leurs devoirs. De ce fait, elles avaient fait leurs devoirs pendant de nombreuses annĂ©es sans rĂ©sultat et avaient fini par ĂȘtre chassĂ©es. D’autres ont travaillĂ© en se basant sur des annĂ©es d’expĂ©rience de leur don, sont devenus de plus en plus arrogants, n’en ont fait qu’à leur tĂȘte, ont gravement perturbĂ© le travail de la maison de Dieu, et ont Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©s et chassĂ©s. Mais certains frĂšres et sƓurs sont simples et honnĂȘtes, ils sont capables d’accepter n’importe quel devoir arrangĂ© pour eux, de se concentrer sur la recherche de la vĂ©ritĂ© et la rĂ©solution de leurs tempĂ©raments corrompus, et quand ils ne comprennent pas quelque chose, ils prient Dieu ou cherchent la vĂ©ritĂ©, ou ils interrogent leurs frĂšres et sƓurs et Ă©changent avec eux. Ils deviennent de plus en plus efficaces dans leurs devoirs, ils grandissent peu Ă  peu dans la vie et ils ont une foi sincĂšre en Dieu. Il y avait de tels cas autour de moi, alors pourquoi ne les voyais-je pas ? De plus, quand des gens sont transfĂ©rĂ©s dans la maison de Dieu, c’est toujours sur la base des besoins du travail de l’Église et de leurs compĂ©tences. Si quelqu’un a une foi sincĂšre en Dieu, la maison de Dieu lui arrangera un devoir qui lui convient. Ce n’est que passer d’une position Ă  une autre, pas se faire dĂ©pouiller de son droit d’éprouver l’Ɠuvre de Dieu et de rechercher la vĂ©ritĂ©, ni ĂȘtre privĂ© de sa chance d’ĂȘtre sauvĂ©. C’est tout Ă  fait appropriĂ©. Pourquoi avais-je toujours considĂ©rĂ© les transferts comme une chose nĂ©gative, mauvaise ? J’ai compris Ă  ce moment-lĂ  que ma croyance dans le fait qu’un devoir stable et durable me garantirait une bonne destination et de ne pas ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e et chassĂ©e Ă©tait un point de vue absurde et ridicule. Ce n’était que mes notions et les fruits de mon imagination, et c’était dangereux ! Quand je m’en suis rendu compte, mon cƓur s’est illuminĂ© et je me suis sentie trĂšs soulagĂ©e. AprĂšs ça, dans mon devoir, mon Ă©tat d’esprit Ă©tait bien meilleur. Je ne considĂ©rais plus que l’un de mes devoirs Ă©tait plus important que l’autre. À la place, je sentais que les deux Ă©taient des mandats de Dieu, qu’ils Ă©taient prĂ©cieux, et j’ai voulu faire les deux du mieux possible. Quant Ă  savoir si je continuerais mon travail Ă  temps partiel, j’ai laissĂ© Dieu en dĂ©cider et j’ai Ă©tĂ© prĂȘte Ă  me soumettre Ă  Ses arrangements. Un jour, fin novembre, le superviseur m’a dit que je n’avais plus besoin de faire le travail Ă  temps partiel parce qu’ils avaient quelqu’un d’autre. Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai ressenti quelque chose que je ne peux pas dĂ©crire. J’étais un peu triste et rĂ©ticente Ă  renoncer. Je me suis aperçue que mon Ă©tat Ă©tait mauvais, alors je me suis empressĂ©e de prier Dieu. J’ai pensĂ© aux paroles de Dieu Les gens doivent avoir un cƓur honnĂȘte vis-Ă -vis de Dieu, et vis-Ă -vis de leur devoir. Si tel est le cas, ils craindront Dieu. Quel genre d’attitude envers Dieu ont ceux qui ont un cƓur honnĂȘte ? Au minimum, ils ont un cƓur qui craint Dieu, un cƓur qui obĂ©it Ă  Dieu en toutes choses, ils ne demandent ni bĂ©nĂ©dictions ni infortune, ils ne parlent pas de conditions, ils s’en remettent Ă  la merci de Dieu ; ces gens-lĂ  ont un cƓur honnĂȘte » Seule la recherche des principes-vĂ©ritĂ©s permet de bien accomplir son devoir », dans Sermons de Christ des derniers jours. AprĂšs avoir mĂ©ditĂ© ces paroles de Dieu encore et encore, j’ai compris que Dieu aimait les gens honnĂȘtes, qu’Il voulait que je traite mes devoirs avec un cƓur honnĂȘte, que je sois capable d’obĂ©ir simplement, que je ne me soucie pas des rĂ©sultats, que je ne fasse pas de calcul pour moi-mĂȘme et que je me soumette Ă  Ses orchestrations. Jamais personne n’a gardĂ© sa place dans la maison de Dieu grĂące Ă  des ruses et des calculs. Au contraire, seuls ceux qui sont purs, honnĂȘtes, qui font les choses de maniĂšre terre Ă  terre et qui obĂ©issent Ă  Dieu peuvent tenir bon. À ce moment-lĂ , j’ai compris que Dieu me testait par cette situation. Dieu observait mon attitude. Je ne pouvais plus me montrer sĂ©lective vis-Ă -vis de mon devoir. Je devais obĂ©ir aux arrangements de Dieu du fond du cƓur et chĂ©rir mon devoir actuel. Quelle que soit la durĂ©e de ce devoir et quels que soient les autres devoirs que l’Église arrangerait pour moi Ă  l’avenir, je devais l’accepter et obĂ©ir avec un cƓur pur et honnĂȘte et faire de mon mieux pour bien les accomplir. AprĂšs y avoir rĂ©flĂ©chi, j’ai brusquement compris que Dieu avait de bonnes intentions en arrangeant ce travail Ă  temps partiel pour moi. Dieu avait arrangĂ© cet environnement pour rĂ©vĂ©ler mon attitude incorrecte envers mon devoir et mon intention bien enracinĂ©e de gagner des bĂ©nĂ©dictions. Sans la rĂ©vĂ©lation des faits, je n’aurais jamais su que ma foi Ă©tait dĂ©naturĂ©e ni quelle attitude envers son devoir est conforme Ă  la volontĂ© de Dieu. Tout ce que Dieu m’avait donnĂ© Ă©tait un trĂ©sor prĂ©cieux. Aussi, ce changement soudain dans mon devoir m’a permis de voir un fait Dieu contrĂŽle tout et le devoir que quelqu’un accomplit est prĂ©dĂ©terminĂ© par Dieu. C’est quelque chose que les gens ne peuvent ni prĂ©voir ni changer. Mais, comme un non-croyant, j’ignorais la souverainetĂ© de Dieu et je voulais prĂ©server mes devoirs par mes propres efforts. J’étais si stupide et ignorante ! Comment pouvais-je espĂ©rer garder un devoir particulier que je voulais accomplir ? Je ne pouvais vivre une vie dĂ©tendue et libĂ©rĂ©e qu’en obĂ©issant aux arrangements de Dieu. AprĂšs quelque temps, l’Église m’a chargĂ©e d’un autre travail Ă  temps partiel, mais je ne me suis plus demandĂ© si ce devoir serait durable. À la place, j’ai juste voulu le faire bien, avec assiduitĂ©, rechercher et pratiquer la vĂ©ritĂ© dans mon devoir, rĂ©soudre mon tempĂ©rament corrompu, m’efforcer de vivre une vraie ressemblance humaine et parvenir Ă  une obĂ©issance et une loyautĂ© sincĂšres envers Dieu.
TroprĂ©flĂ©chir, c’est rĂ©flĂ©chir au dĂ©triment de l’action, soit en la diluant pour contenter tout le monde, soit en la compliquant pour tenir compte de mille variables, soit en la retardant pour neutraliser tous les risques. C’est comme ça que les grosses organisations et les multinationales ralentissent au point de s’engluer. Ce dictionnaire contient 68 citations et pensĂ©es d'auteurs cĂ©lĂšbres français ou d'auteurs Ă©trangers sur le verbe rĂ©flĂ©chir. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur rĂ©flĂ©chir issus des quatre coins du monde Le Français aime avant de rĂ©flĂ©chir, mais quand il se met Ă  rĂ©flĂ©chir il n'aime dĂ©jĂ  plus ! Alexandre Weill ; Le petit trĂ©sor d'esprit 1874 RĂ©flĂ©chir, c'est nier ce que l'on croit. Alain ; Les propos sur la religion 1938 Il y a des choses sans importance qu'il vaut mieux ne pas perdre son temps Ă  y rĂ©flĂ©chir. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 PensĂ©es, rĂ©flexions, maximes – et jeux de mots. Il ne faut pas s'Ă©tonner de leur mĂ©lancolie ni de leur pessimisme. On ne rĂ©flĂ©chit pas lorsque l'on est heureux. Sacha Guitry ; Les femmes et l'amour 1935 Le retard employĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir tient lieu de diligence. Publilius Syrus ; Les sentences et adages - Ier s. av. On prend beaucoup d'effort et l'on dilapide bien des jours Ă  apprendre quoi penser, alors que presque rien n'est employĂ© Ă  enseigner l'art de rĂ©flĂ©chir. Georg Christoph Lichtenberg ; Le miroir de l'Ăąme 1799 Avant de s'embarquer dans une aventure, il faut y rĂ©flĂ©chir longtemps. Charles de Saint-Évremond ; Les maximes et prĂ©ceptes de conduite 1692 Rien ne sert de penser, il faut rĂ©flĂ©chir avant. Pierre Dac ; Y'a du mou dans la corde Ă  noeuds - Ed. Julliard 1995 Un caprice doit nous faire rĂ©flĂ©chir, c'est le valet qui s'installe chez nous. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 L'homme n'est ordinairement qu'une machine, ce n'est que dans le malheur ou dans la vieillesse qu'il s'avise trop tard de rĂ©flĂ©chir. François Pouqueville ; Voyage de la GrĂšce 1820-1822 Habituons les enfants Ă  faire le bien sans rĂ©flĂ©chir. C'est plus sĂ»r. Albert Guinon ; Le Figaro, le 29 mai 1909. Cesse de rĂ©flĂ©chir, ne pense qu'au but et compte pour rien les obstacles. RĂ©my de Gourmont ; Sixtine 1890 Le nombre de partis baptisĂ©s front » rappelle que, en dĂ©pit des divagations de ses leaders, la politique doit constituer un acte rĂ©flĂ©chi. Philippe Bouvard ; Mes derniĂšres pensĂ©es sont pour vous 2017 Un amour non rĂ©flĂ©chi est toujours passager si des conventions ne le cimentent. Properce ; Livre III, Ă©lĂ©gie 20 vers 23 av. La plupart des hommes et des femmes consacrent peu d'instants Ă  rĂ©flĂ©chir sur le passĂ©, par consĂ©quent il est rare que de salutaires douleurs les rendent plus sages. Samuel Johnson ; Le paresseux 1760 Les Ă©vĂ©nements sont des Ă©tapes qui nous obligent Ă  rĂ©flĂ©chir. Anne Barratin ; De toutes les paroisses 1913 Agir sans avoir rĂ©flĂ©chi, c'est partir en voyage sans avoir fait de prĂ©paratifs. Jean-Jacques de LingrĂ©e ; Les rĂ©flexions, pensĂ©es et maximes 1814 La pensĂ©e qui ne fait point rĂ©flĂ©chir ne vaut rien. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 La paresse d'esprit fait qu'on aime Ă  trouver des opinions toutes faites qu'on adopte comme des vĂ©ritĂ©s. Le nombre de ceux qui rĂ©flĂ©chissent indĂ©pendamment de tous prĂ©jugĂ©s, est petit. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Celui qui rĂ©flĂ©chit aime mieux s'entretenir avec ses idĂ©es, quelles qu'elles soient, qu'avec la plupart de ceux qu'il rencontre. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Les sots commencent par agir, et les habiles par rĂ©flĂ©chir, avant que de faire quelque chose. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Les idĂ©es de celui qui rĂ©flĂ©chit, se rĂ©sument en pensĂ©es. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Celui qui rĂ©flĂ©chit a plus de plaisir Ă  s'entretenir avec ses idĂ©es qu'Ă  tenir conversation avec les sots Ă  la mode. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Si l'on rĂ©flĂ©chissait avant que d'agir, il y aurait beaucoup moins de sottises dans le monde, et les mĂ©chants manqueraient de texte pour exercer leur langue de vipĂšre. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Voir et rĂ©flĂ©chir sur ce qu'on a vu, voilĂ  le second pas de la connaissance. Confucius ; Le livre des sentences - VIe s. av. L'aptitude Ă  rĂ©flĂ©chir implique toujours l'aptitude Ă  l'attention. Gustave Le Bon ; Les opinions et les croyances 1911 Que de gens rĂ©flĂ©chissent toujours Ă  ce qu'ils auraient dĂ» faire, jamais Ă  ce qu'ils vont faire. EugĂšne Marbeau ; Les remarques et pensĂ©es 1901 Quelque chose que tu doives dire, rĂ©flĂ©chis-y auparavant. Bien des gens parlent avant de rĂ©flĂ©chir. Isocrate ; Les conseils Ă  DĂ©monicos - IVe s. av. Il faut rĂ©flĂ©chir aux choses importantes avant de les entreprendre. Johann Wolfgang von Goethe ; La fille naturelle 1804 On ne rĂ©flĂ©chit jamais trop aux choses importantes. Johann Wolfgang von Goethe ; La fille naturelle 1804
\n \nqu est ce qui reflechi sans reflechir
Linconscient est volontĂ© qui dirige notre ĂȘtre sans que la conscience puisse le savoir et agir. Mais comment une volontĂ©, qui est un acte rĂ©flĂ©chi peut-elle ĂȘtre inconsciente ? Qu'est-ce que le monde en dehors de nos reprĂ©sentations ? Schopenhauer rĂ©pond que notre corps rĂ©pond Ă  deux affects : plaisir et douleur.
Eneffet, il met en pratique ses connaissances, des rĂ©sultats mĂ©morisĂ©s, pour effectuer le calcul. (Exemple : tables de multiplication, d’addition, points d’appuis ) Le calcul rĂ©flĂ©chi arrive avant le calcul automatisĂ©. En effet, l’élĂšve va mettre en place une stratĂ©gie pour pouvoir effectuer le
MFKvzX.
  • hga8nl38e0.pages.dev/7
  • hga8nl38e0.pages.dev/347
  • hga8nl38e0.pages.dev/269
  • hga8nl38e0.pages.dev/442
  • hga8nl38e0.pages.dev/87
  • hga8nl38e0.pages.dev/479
  • hga8nl38e0.pages.dev/51
  • hga8nl38e0.pages.dev/338
  • qu est ce qui reflechi sans reflechir