CHASSEAUX GROS GIBIERS . Le chef de battue se doit : de rappeler les consignes de sécurité avant chaque battue et d'en remettre un exemplaire à tout les chasseurs lors de la première battue. d'afficher le réglement de la société au lieu de rendez-vous. de signaler la zone chassée.
Cependant, la perception que nos contemporains ont des armes a beaucoup évolué ces dernières décennies. L’arme, fut-elle de chasse, n’est pas un objet anodin et peut parfois être une source d’inquiétude pour les autres usagers de la nature. Droit à l'usage des armes Ce droit à l’usage des armes de chasse nous confère des responsabilités et des devoirs Si nous sommes les seuls à pouvoir utiliser des armes dans un milieu naturel, ce n’est pas un privilège mais un droit jadis transmis de génération en génération, aujourd’hui acquis avec l’examen du permis de chasser. Ce droit à l’usage des armes de chasse nous confère des responsabilités et des devoirs, au premier rang desquels figure le devoir de sécurité. Toute activité, a fortiori de loisirs et de nature, comporte des risques et induit des dangers, la chasse ne fait pas exception à la règle. C’est pourquoi les chasseurs ont développé depuis de nombreuses années une véritable culture de la sécurité. Si les actions des fédérations, de l’ONCFS actuel OFBet des associations, conjuguées à la prise de conscience individuelle ont fait baisser de moitié le nombre d’accidents en 10 ans, nos efforts ne doivent pas s’arrêter là et c’est l’un des points primordial de la nouvelle loi chasse. Nouvelle loi chasse la sécurité est une priorité Dans une logique de responsabilité, la loi consacre plusieurs articles à la sécurité. Toutes les fédérations diligentent déjà de nombreuses formations pour les chasseurs et/ou les organisateurs de battues. Ces formations vont être généralisées par la mise en place d’une remise à niveau obligatoire tous les 10 ans. Il ne s’agira pas d’un examen mais d’une formation pour reprendre les gestes de la sécurité, rappeler les situations d’accidents et les comportements à adopter lorsque l’on rencontre un usager de la nature non-chasseur, l’adaptation de l’arme au gibier chassé, etc. Tous les schémas départementaux de gestion cynégétique ont déjà un volet sécurité adapté au contexte du biotope et des modes de chasse locaux. En plus de cette formation, afin de renforcer et d’homogénéiser certaines règles notamment pour les nombreux chasseurs détenteurs de permis nationaux, il est prévu lors d’actions collective de chasse à tir au grand gibier La généralisation du port du gilet fluorescent, La pose de panneaux de signalisation temporaire. Au sein de chaque FDC sera également mise en place une commission départementale de sécurité à la chasse, composée de membres du conseil d’administration de la Fédération. Cette commission va permettre de demander au Préfet la rétention ou la suspension du permis de chasser d’une personne qui aurait commis un incident matériel grave ayant pu mettre en danger la vie d’autrui, ou en cas d’accident ayant entraîné la mort d’une personne ou involontairement causé une atteinte grave à l’intégrité physique d’une personne à l’occasion d’une action de chasse ou de destruction. Et ce, sans attendre la décision d’un jugement qui mettra plusieurs mois à suspendre le permis d’un chasseur manifestement dangereux. 2 fois moins d’accident en 10 ans ! Nos sociétés modernes veillent à réduire au maximum les risques d’accidents et cherchent systématiquement des responsables. Pour la chasse, cette évolution s’est traduite par l’examen pratique du permis de chasser, par des campagnes de sensibilisation à la sécurité, par l’établissement de règles et de codes, ainsi que par une analyse très fine des accidents de chasse. C’est le résultat de la sensibilisation des chasseurs à la sécurité, développée par les Fédérations des Chasseurs. Comment éviter les accidents ? Le nombre d’accidents diminue, c’est bien, mais un accident sera toujours un accident de trop. Même si le risque zéro n’existe pas, comment réduire encore les drames, jusqu’au seuil ultime de la fatalité ? Tenir compte de l’environnement Derrière la haie, le champ de maïs, le coin du bois, peut se trouver une personne totalement ou partiellement soustraite à la vue du tireur. Il est évident qu’on ne tire que vers un gibier clairement identifié, pas une simple forme. Tenir compte de l’environnement, c’est aussi tout simplement ne pas se laisser aveugler par le gibier et, cela paraît évident, ne pas tirer un gibier en direction des habitations et des routes. Gibier à plume prudence accrue Certains gibiers se font un malin plaisir à vous offrir les plus belles occasions… en volant à moins de 2 mètres de haut, pour des tirs à l’horizontale. C’est le perdreau qui vous part dans les bottes ou dans la culotte dans les betteraves, c’est le faisan qui décolle d’une haie et ne veut pas monter, la bécasse crochetant malicieusement entre les baliveaux. Dans le premier cas, le tir est envisageable car la plaine est un milieu ouvert, offrant une bonne visibilité. Dans les autres cas, si l’on tient compte du fait que quelqu’un, pas forcément en fluo, peut se trouver caché par l’écran de végétation, mieux vaut s’abstenir. Nous sommes ici dans les circonstances typiques où le chasseur devra particulièrement tenir compte de l’environnement, ne pas se laisser aveugler par le gibier, ni tirer vers des habitations ou lieux ouverts au public. Une occasion ratée peut se retrouver ; un accident marque à jamais auteurs et victimes ! Vive le fluo ! La meilleure façon d’accroître la sécurité à la chasse est de ne pas causer d’accidents ! C’est la sécurité active. Mais on peut craindre la seconde d’inattention d’un chasseur qui ne tiendra pas compte de l’environnement, et prévenir l’accident en portant des vêtements qui nous rendront visibles de loin, même à travers un écran de végétation. C’est la sécurité passive. Le fluo, pour le chasseur, est parfois un déchirement. En effet, nous avons tous particulièrement aimé un chapeau d’un noble tissu délavé par les pluies, une vieille veste aux teintes d’automne usée par les ronces, nous donnant la sensation de nous fondre dans la nature… Et nous voici affublés de vêtements industriels criards. Dur… Et pourtant, porter un vêtement fluo lors des chasses en groupe est gage de sécurité ! Bien que ce ne soit pas quantifiable, il est certain que la généralisation du fluo à la chasse contribue à la baisse du nombre d’accidents. On ne tire pas dans les 30° La moitié des accidents de chasse surviennent lors d’une battue de grand gibier ! Nombre de ces accidents pourraient être évités en respectant une règle de base celle des 30°. Le chasseur ventre au bois, ne doit pas tirer dans la traque – du moins, c’est généralement énoncé lors des consignes – mais seulement lorsque le gibier aura sauté l’allée, au-delà d’un angle de 30° qui garantit la sécurité des voisins. Pour matérialiser un angle de 30° vers la droite, le chasseur effectue 5 pas vers la droite puis 3 pas perpendiculairement et la même chose côté gauche. A la fin du troisième pas, il plante un repère bâton ou autre. Le gibier sortant de l’enceinte traquée ne pourra être épaulé et tiré qu’après avoir franchi l’angle des 30°. En cas d’accident, la responsabilité du chasseur ayant tiré dans l’angle des 30° est systématiquement engagée ! Parfois, le layon est très étroit ou le bois très sale, rendant le tir quasiment impossible. Dans ce cas, mieux vaut s’abstenir ! L’organisateur de chasse peut élargir les layons ou ouvrir des zones de tir pour faciliter l’exercice de la chasse. La moitié des accidents de chasse surviennent lors d’une battue au grand gibier ! Nombre de ces accidents pourraient être évités en respectant une règle de base celle des 30°. Willy Schraen,, Président de la Fédération Nationale des Chasseurs Au rond Tout acte de chasse, dès qu’il est pratiqué par plus d’une personne, comporte forcément un responsable. En battue et en particulier au grand gibier, ce responsable doit énoncer clairement, à tous les participants, les consignes de sécurité et de tir. Ces consignes sont données lors d’un rituel précédant la chasse, celui du rond, auquel tous les participants, chasseurs et traqueurs sont conviés. Les consignes verbales sont maintenant de plus en plus souvent doublées par des consignes écrites, remises au chasseur qui reconnaît en avoir pris connaissance et s’engage à les respecter en signant le registre de battue. En cas d’accident, la responsabilité du responsable de chasse n’ayant pas donné les consignes est systématiquement engagée. Au rond, chaque chasseur écoute en silence ! Faire baisser la fièvre du sanglier Depuis les années 1980, il s’est multiplié mais la fièvre du sanglier reste forte et conduit parfois les chasseurs à perdre leur sang-froid et à commettre des imprudences. Les chiffres sont éloquents 69% des accidents en action de chasse au grand gibier concernent le sanglier alors qu’il ne représente que 49% des prélèvements. Pour établir une comparaison, le chevreuil représente 46% des prélèvements, pour 25% des accidents. Ceci est d’autant plus anormal que pour le sanglier, plus bas sur pattes que le chevreuil, les tirs sont plus fichants » et devraient donc causer moins d’accidents pourtant aucun sanglier, fut-il celui de votre vie, ne mérite que vous mettiez en danger celle d’autrui ! 69% des accidents en action de chasse au grand gibier concernent le sanglier 25% des accidents en action de chasse au grand gibier concernent le chevreuil Faut-il se méfier des armes semi-automatiques ? Bien que très répandues, elles sont parfois mal vues car elles ne se cassent » pas, et la tentation est grande chez certains responsables de chasse de les bannir. S’il faut garder à l’esprit que ce n’est pas l’arme qui est dangereuse mais l’usage qui en est fait, force est de reconnaître qu’elles sont plus adaptées aux chasses au poste, en solitaire, qu’aux chasses actives, en groupe. L’usage d’une arme semi-automatique en groupe doit se traduire par des précautions accrues toujours dirigée vers le ciel et, lors des déplacements, culasse ostensiblement en arrière, ouverte et coincée par une douille en travers. Avec le temps, l’attention se relâche Méfiez-vous des jeunes chasseurs ils manquent d’expérience et sont plus dangereux que les anciens ! » Cette affirmation péremptoire, nous l’avons tous entendue et pourtant, dans les faits, c’est tout le contraire ! A cela deux raisons principales les plus jeunes chasseurs ont passé le permis avec une épreuve pratique ; la majorité des plus de 62 ans n’ont passé aucune épreuve puisque l’examen a été instauré en 1976. Ensuite, avec la pratique, on acquiert certes de la sagesse mais aussi des habitudes, et des automatismes, on a davantage confiance en soi et on oublie parfois les règles élémentaires. A la chasse comme au volant, l’expérience n’autorise pas la négligence. Il ne faut jamais relâcher son attention, surtout après de nombreux permis ! A la chasse comme au volant, l’expérience n’autorise pas la négligence. Nicolas Rivet,, Directeur Général de la FNC Signalez vos chasses Les autres usagers de la nature, de plus en plus nombreux, ne sont pas forcément informés des jours de chasse. Pour les prévenir, n’hésitez pas à poser des pancartes sur les chemins traversant les zones chassées avec un message du type Aujourd’hui, nous chassons ensemble, soyons vigilants ». Elles doivent être posées le matin de la chasse et enlevées dès la fin. Vous pouvez également afficher le calendrier des jours de battues. Pour les grands massifs, c’est facile. Pour les petites chasses, c’est moins évident. Vous avez des questions concernant la sécurité ? Vérifiez que notre FAQ n’y réponde pas. Sinon, n’hésitez pas à nous contacter. S'informer Abonnez-vous à la newsletter La Fédération Nationale des Chasseurs porte la plus grande attention à vos données à caractère personnel et s’engage à les protéger, de sorte que leur collecte et leur traitement, effectués à partir du présent site, soient conformes à la loi n°78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés ainsi qu’au Règlement UE 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 applicable le 25 mai 2018. Ces données ne sont pas transmises à des tiers et leur durée de conservation est limitée à 13 mois à compter de la collecte. Pour toute question sur le traitement de vos données dans ce dispositif, vous pouvez contacter notre délégué à la protection des données via notre page contact. Ce formulaire est protégé par reCAPTCHA et les règles de confidentialité et conditions d’utilisation de Google s'appliquent. Découvrez aussi Accueil Pratiquer Chasser en sécurité
Forêtde Chamberceau Vingt et un jeunes passionnés par la chasse au grand gibier Par Photos FDC21 - 18 févr. 2018 à 18:00 | mis à jour le 18 févr. 2018 à 20:27 - Temps de lecture : Ce reglement interieur n'est plus valable , il à été modifié lors de l'assemblée générale du mois de Juillet 2020. SAISON 2017-2018 ARTICLE 1 Le présent règlement intérieur, approuvé par l’assemblée générale ordinaire dans sa séance du Samedi 29 Juillet 2017 avec effet immédiat est opposable à tous les adhérents à la société de chasse à quelque titre qu’ils y soient affilés. ARTICLE 2 Le présent règlement intérieur pourra être complété ou modifié chaque année par l’assemblée générale ordinaire sur proposition du conseil d’administration. ARTICLE 3 Le règlement intérieur a pour objet de préciser les statuts et de porter à la connaissance des chasseurs les mesures prises par la société de chasse. Il doit être rigoureusement respecté par tous les chasseurs chassant sur le territoire de la commune de Saint-Auban quel que soit leur catégorie. ARTICLE 4 TARIF DES DIFFERENTES CARTES Cartes à 50€ En bénéficient les chasseurs propriétaires possédant une résidence et de plus de 4ha de terrain ou plus de 4 ha de terrain seul ainsi que leur conjoint, ascendants, descendants ou concubins Cartes à 80€ En bénéficient les chasseurs propriétaires possédant une résidence et moins de 4ha de terrain ou moins de 4 ha de terrain ainsi que les résidents détenteurs d’une taxe d’habitation sur la commune. Les nouveaux chasseurs propriétaires de moins de 4 ha en bénéficieront à condition de posséder une habitation ou un permis de construire. Cartes à 230 € Les chasseurs non-propriétaires résidant hors de la commune ces cartes étant en nombre limité Une nouvelle demande de carte devra être faite chaque année avant la fin du mois de mai. Qu'il s'agisse d'une première demande ou d'un renouvellement de carte ,l'acceptation n'est pas automatique et sera soumise à l'avis du conseil d'administration qui en cas de refus n'aura pas l'obligation de faire connaître le motif de la décision. Tout nouveau adhèrent n’aura pas le droit de vote pendant 2 ans. Le prix des différentes cartes pourra être réactualisé chaque année ainsi que pourra être modifié le quota des cartes extérieures sur proposition du conseil d’administration lors de l’assemblée générale ordinaire. Pour les chasseurs propriétaires de + de 70 ans une remise sera accordée 25€ au lieu de 50€ 50€ au lieu de 80€ Carte gratuite la première année pour les nouveaux permis. Des cartes journalières petit et grand gibier sont mises à la vente au prix de 15€. Ces cartes petits gibiers seront disponibles que durant la période des lâchers. La remise des cartes de sociétaire se fera uniquement sur présentation de la validité du permis de chasser et de l’attestation d’assurance. ARTICLE 5 CARTES D’INVITATIONS 1 Les propriétaires non-chasseurs bénéficient de 5 cartes journalières pour plus de 10 hectares 1 carte permanente pour plus de 20 hectares 2 cartes permanentes pour plus de 50 hectares Ces cartes sont remises aux intéressés qui reconnaissent qu’ils cèdent pour l’année leur droit de chasse à la société. Les cartes utilisées devront être déposées dans la boite aux lettres du rendez-vous de chasse après fin de saison les carnets à souches devront être rendus. 2 Les propriétaires chasseurs bénéficient de 5 cartes journalières pour une superficie de 10 à 50 hectares dont 2 peuvent être utilisées pour la chasse du grand gibier. 10 cartes journalières pour une superficie de 50 à 100 hectares dont 3 peuvent être utilisées pour la chasse du grand gibier. 15 cartes journalières pour une superficie de plus de 100 hectares dont 5 peuvent être utilisées pour la chasse du grand gibier. Les cartes utilisées devront être déposées dans la boite aux lettres du rendez-vous de chasse après fin de saison les carnets à souches devront être rendus. ARTICLE 6 LACHES Des lâchés de faisans sont échelonnés tous les samedis, de l’ouverture à fin Octobre. Le lâcher s’effectuera le matin et il est demandé de ne pas démarrer la chasse avant 8 heures. Il est rappelé que nombre d’oiseaux est limité à 3 pièces par chasseur et par jour. Il est rappelé que la piste de la plaine des Lattes est interdite à la circulation sans autorisation. Il est interdit de faire usage d’armes à feu et de se placer en position de tir à moins de 150 mètres des bâtiments habités. ARTICLE 7 BATTUES Tous les membres de la société détenteurs du timbre gros gibier pourront y participer. Les battues sont placées sous la direction et la responsabilité d’un chef de battue. L’utilisation d’un carnet de battue stipulant le nom des participants ainsi que le lieu et la date est obligatoire et doit être rempli avant le début de la traque et tenu à disposition ou présenté à tout agent assermenté mandaté à cet effet. Toutes les fins de mois les feuilles d’inscription des carnets sont à retourner au détenteur du droit de chasse. Les consignes strictes de sécurité devront être énoncées avant chaque battue par le responsable et à respecter scrupuleusement. Aucun tir n’a lieu avant identification formelle et complète de la cible. Tir a balle uniquement, sauf pour les archets détenteurs d’une attestation délivrée par la FDC. Ne jamais quitter son poste avant le signal de fin de battue. Respecter les angles de tir si possible. Pratiquer un tir fichant. Charger son arme une fois arrivé à son poste et la décharger une fois la traque terminée. Pendant la battue tous les participants devront porter une casquette orange ou une chasuble orange ou une veste orange. La pose de panneaux mobiles au départ des principaux accès chemins, pistes indiquant le déroulement d’une battue est obligatoire. Il est interdit de faire usage d’armes à feu et de se placer en position de tir à moins de 150 mètres des bâtiments habités, sur les chaussées et chemins goudronnés affectés à la circulation publique ainsi que sur une distance de 3 mètres depuis le bord des chaussées. Tout participant ne respectant pas les consignes ci-dessus et présentant un danger quelconque pour autrui sera exclu immédiatement de la battue. Les responsables des deux carnets de battue attribués sur le territoire de la Société de chasse devront se conformer aux dispositions concernant le règlement prévu par la fédération en matière de sécurité et à celles prévues par le règlement de la société de chasse. Il est entendu que tout sociétaire pourra participer aux battues, qu’elles soient organisées par l’une ou l’autre équipe. Jours de chasse 1er carnet Samedi et Dimanche. 2ème carnet Mercredi. Par temps de neige uniquement le carnet du mercredi sera autorisé à faire une battue le samedi ou le dimanche après arrangement avec le bureau. Aucune battue ne sera organisée un jour férié autre que Samedi, Dimanche et Mercredi Pour le sanglier celui-ci pourra, sous l’autorité du détenteur du droit de chasser, être chassé par temps de neige, les jours fixés par arrêté préfectoral. ARTICLE 8 PLAN DE CHASSE Pourront participer au plan de chasse tous les adhérents de l’association possédant un timbre grand gibier. Tout animal soumis au plan de chasse, avant tout déplacement doit être équipé d’un bracelet prévu à cet effet .Celui-ci doit être coché à la date du jour comme il se doit et doit être apposé sur une des pattes arrière de l’animal, prisonnier du tendon et fermé de façon certaine. Les constats de tir devront être remis au détenteur du droit de chasser sous les 48h. Chevreuil Le tir du chevreuil est interdit pour cette année encore. Cervidés Tir à balle obligatoire. Le nombre de bracelets se partagera entre les 2 battues Il est rappelé que la corne est obligatoire. Le règlement article7et8 des battues est applicable. Nombre de bracelets 10 Chamois Tir à balle obligatoire Nombre de chasseurs compris entre 2 et 4 obligatoirement. Utilisation de chien est interdite pour le chamois. L’inscription pour le tir du chamois se fera lors de la remise des cartes. L’ordre de passage sera affiché sur le panneau d’information situé au rendez-vous de chasse avant l’ouverture. Les jours de chasse pour le chamois sont le mercredi, samedi et dimanche. Le lundi, pouvant se chasser seul au chamois, la société se réserve ce jour pour la vente éventuelle d’un bracelet. Le tir de la chèvre suitée est interdit. Le tir du sanglier est interdit. Nombre de bracelets 9 ARTICLE 9 OISEAUX MIGRATEURS Pour les migrateurs, la fédération met à disposition des feuilles de relevé quantitatif grives, pigeons, bécasses pour cette dernière des enveloppes sont à disposition pour le prélèvement des ailes. Nous vous demandons d’y participer et le plus assidûment possible. Le port d’un dispositif orange ne s’applique pas au chasseur au poste fixe construit par la main de l’homme. Dès lors qu’il quitte son poste, le chasseur doit être revêtu d’une casquette ou d’un haut de couleur orange. ARTICLE 10 RESERVE La réserve se situant sur BLEYNE est matérialisée par de panneaux de signalisation. ARTICLE 11 JOURNEE DE TRAVAIL Plusieurs journées d’aménagement du territoire de la société sont programmées pour tous les membres. La présence à au moins une de ces journées est obligatoire sauf pour les personnes ayant plus de 70 ans ou si leur état de santé le leur permet pas. Pour les autres une pénalité financière pourra être appliquée. ARTICLE 12 SANCTIONS En cas de fautes le bureau se donne le droit de prendre des dispositions envers un sociétaire, quel que soit sa catégorie, pour une exclusion définitive ou temporaire de la société pour les raisons suivantes Faute grave de sécurité Infractions concernant la réglementation de la chasse et le règlement intérieur de la société. ARTICLE 13 Le tir du coq de bruyère et du perdreau est interdit sur toute la commune de Saint-Auban. Le tir du canard colvert est interdit autour des lacs de Saint-Auban. TOUT MEMBRE DE L’ASSOCIATION DEVRA PRENDRE CONNAISSANCE DU PRESENT REGLEMENT LORS DE LA REMISE DES CARTES OU SUR NOTRE SITE INTERNET. TOUT MEMBRE EN ACTION DE CHASSE EST EN CONSEQUENCE PRESUME CONNAITRE LE CONTENU DU PRESENT REGLEMENT LES STATUTS DE L’ASSOCIATION LES LIMITES DES RESERVES LES REGLES ELEMENTAIRES DE SECURITE SAINT AUBAN LE 29 Juillet 2017 dela chasse en battue au grand gibier est programmée au 31 janvier. Les départements limitrophes proposent une fermeture au 28 février. Pour les interventions de chasse maintenues, les consignes sanitaires suivantes devront être respectées : - rappel des consignes sanitaires et de sécurité par le responsable de la battue ;
Les règles de sécurité de base L’arme n’est transportée dans un véhicule que déchargée et démontée ou déchargée et placée sous étui. L’arme n’est chargée que lorsque le chasseur est en instance de tir. Le reste du temps, l’arme est déchargée et ouverte, on ne charge donc pas par principe dès qu’on quitte la voiture. Une arme fermée est toujours considérée comme chargée, l’arme doit donc être cassée ou la culasse en arrière, ou tenue ouverte à l’aide d’un étui de cartouche vide. On décharge son arme à chaque fois qu’on est en situation d’instabilité passage d’obstacles et en présence d’autres personnes regroupement dès deux chasseurs, contrôle par services de police…, sauf lors de la gestion d’un ferme ». Le tir ne se fait jamais à hauteur d’homme, ni sans s’être assuré que la zone balayée par les canons est déserte et sans risque. On ne tire jamais au travers d’une haie ou d’un buisson. Le tir doit être fichant et respecter l’angle de 30° par rapport à toute zone à risques. Attention aux ricochets sur tout support et avec toutes munitions. Les consignes de sécurité obligatoires quel que soit le mode de chasse Il est interdit de tirer avec des armes à feu sur les routes et chemins publics, sur les voies ferrées ou dans les emprises ou enclos dépendant des chemins de fer. Il est interdit de tirer en direction ou au-dessus de ces routes, chemins ou voies ferrées. Il est interdit de tirer en direction des lignes de transport électrique ou de leurs supports. Il est interdit de tirer en direction des stades, lieux de réunions publiques en général et habitations particulières y compris caravanes, remises, abris de jardin ainsi que des bâtiments et constructions dépendant des aéroports. Le tir à bord ou à l’aide d’un véhicule à moteur, ou à l’aide de chevaux est interdit. Tout poste de tir aménagé, supérieur à 2m au plancher, ne pourra être utilisé, ni installé à moins de 100m d’un territoire de chasse voisin, sauf accord du propriétaire du fonds voisin et du détenteur du droit de chasse si le propriétaire a cédé son droit. Les consignes de sécurité pour la chasse collective Les Obligations Les battues doivent être signalées par des panneaux indiquant qu’une action de chasse est en cours. les panneaux doivent être placés à l’entrée de chaque voie d’accès aux parcelles chassées, rurales, vicinales et forestières, ouvertes à la circulation publique. La pose de panneaux triangulaires temporaires type AK14 pour la taille et la couleur signalant la battue est obligatoire, dans les deux sens de circulation, sur les routes départementales ou nationales traversant le lot de chasse concerné par la battue. Le port visible du gilet, de la chasuble ou de la veste de couleur rouge ou orange, ou orange camouflage, est obligatoire pour les postés, les rabatteurs et les accompagnateurs, en chasse collective en milieu boisé pour tout gibier, et en plaine pour le grand gibier. La tenue d’un registre de sécurité avec émargement de tous les participants chasseurs ET accompagnateurs est obligatoire. Les Préconisations Il est préconisé de localiser et matérialiser sur le terrain les postes de tir, voire d’installer des postes surélevés pour faciliter le tir fichant. Il est recommandé de matérialiser les angles de tir de 30°, de dégager les zones de tir. Chaque responsable de chasse doit informer les chasseurs sur les risques liés à l’utilisation de la bretelle sur une arme, en action de chasse, et sur les conditions d’emploi d’une canne siège ou d’un trépied de battue. Chaque responsable de chasse doit évoquer la question du tir dans ou vers la traque. Il est recommandé la pratique du rond et la présence obligatoire de tous les chasseurs avant le départ de la chasse. L’Organisation du Rond les consignes à annoncer avant chaque battue Dispositions Générales Annoncer le nom de l’organisateur de la battue, des chefs de ligne et du ou des chefs de traque. Annoncer les gibiers et nombre autorisés à tirer, l’enceinte de la battue et l’affectation des postes. Préciser les munitions autorisées. Préciser les dispositions spécifiques du règlement intérieur. Vérifier que chaque chasseur est muni d’une trompe ou corne. L’organisation, un chef de ligne ou de traque peuvent arrêter la battue à tout moment dès lors qu’une situation à risque leur apparaît. Tenue au poste L’arme est ouverte et déchargée à l’aller et au retour de poste. A l’arrivée au poste fixé, repérage des voisins et des zones et angles de tir. A la sonnerie de début de battue, chargement de l’arme et tenue stricte du poste. Les armes chargées sont tenues en main, canons vers le sol. Les postés se tiennent ventre au bois et ne quittent le poste sous aucun prétexte avant le signal de fin de battue. L’épaulée, la visée et le tir ne se font jamais dans l’enceinte, ni même dans une direction ayant un angle inférieur à 30° par rapport aux voisins. Tout tir doit se faire sur animal formellement identifié, en tir épaulé, visé et fichant, dans une zone offrant une bonne visibilité en tenant compte des risques de ricochet. Toute sonnerie est retransmise. Fin de battue Dès le signal de fin de battue, l’arme est déchargée et ouverte, le signal de fin est renvoyé. Tout tir devient strictement interdit. Chaque posté va reconnaître ses tirs et repérer les animaux tués. Il signale les animaux blessés. Les armes sont démontées et rangées dans les étuis dès l’arrivée aux véhicules. Sur le même sujet
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grandgibier reste majori-taire (66%). Le bilan démontre égale-ment que les accidents de chasse sont trop souvent le fait de manquements aux règles élémentaires de sécurité lors du tir ou de la manipulation de l’arme. Un des points mis en avant également est la forte aug-mentation des incidents de tir vers les habitations.
Le rendez-vous était fixé à 7 h 30, au local des chasseurs. Assez tard pour que le soleil soit levé mais suffisamment tôt pour que les chiens puissent dénicher les pistes des animaux sauvages qui logent dans les espaces boisés de la cité Saint-Julien. Brioude, pourtant très urbaine, compte une association communale de chasse agréée ACCA. Et ses membres organisent régulièrement des matin-là du mois d’octobre, pour la deuxième de la saison, ce sont les chèvres » qu’il s’agit de débusquer. Traduction, pour les novices dans mon genre les chevreuils, pour lesquels l’ACCA dispose de cinq bracelets cette saison. Pour les sangliers, pas besoin de bracelets, l'espèce étant en expansion dans le département. Ils ne sont de toute façon pas très nombreux dans le tableau de chasse des Brivadois, chaque saison. Les chiffres clés de la chasse dans le département de la Haute-Loire Mais la partie de chasse est aussi une battue aux nuisibles et les renards, ratons laveurs ou ragondins qui croiseront notre chemin auront du souci à se faire… Avis aux promeneursÀ Brioude, la chasse est ouverte du samedi au lundi. Du mardi au vendredi, il n’y a pas de risque de croiser de chasseurs lors de vos balades. La chasse ferme le 28 février 2019. Dans le local de la rue Guynemer, il y a du café et des croissants. La battue à l’ancienne, qui démarrait avec un petit coup », c’est fini, m’assure-t-on. La nouvelle génération a pris conscience des risques. On ne consomme pas d’alcool avant une battue » Bernard Courtet Président de l’ACCA de Brioude Sans fusil mais avec le gilet orange fluo, réglementaire Je ne suis pas armée mais je dois tout de même signer le registre et m’engager ainsi à respecter les consignes de sécurité. On me prête aussi un gilet orange fluo, réglementaire. Nous nous dirigeons vers un joli bois de châtaigniers, près de Vieille-Brioude. Ne claquez pas les portières en arrivant », rappelle le que le ciel s’éclaircit, je marche dans ses pas, essayant d'être discrète. Il m’indique une trace à peine visible que les animaux ont imprimée dans les herbes qui longent le sentier Là, c’est une draille ».Le premier poste apparaît. C’est un chiffre peint sur le tronc d’un arbre, souligné de quelques longueurs de rubalise. Chacun a son numéro On ne poste pas les gens n’importe où ». Pendant toute l’opération, le responsable de la battue doit savoir où les tireurs se trouvent. Il y va de la sécurité de le monde est en place et le président souffle dans sa corne. Le traqueur sait alors qu’il peut lâcher les chiens. Écoutez-les ! » Recevez par mail notre newsletter loisirs et retrouvez les idées de sorties et d'activités dans votre région. Les chiens aboient, le chevreuil ou le renard passe... Le son des aboiements change. Puis Lara et Marie-Lou arrivent en courant jusqu’à nous, leurs clochettes tintant follement. Elles ont fait une belle menée, mais c’est passé à travers les postés », résume Bernard Courtet. Peut-être même qu’elles ont suivi la trace d’un animal qui était déjà parti depuis belle lurette…La corne sonne un coup long La première traque de la matinée est terminée. On croise des promeneurs souriants C’est l’heure du casse-croûte, des œufs de la ferme frits à la poêle sur un petit réchaud. En enlevant les panneaux qui signalaient la battue, on croise des promeneurs. Bonjour ! », lance un joggeur souriant, qui précise Faites attention, hein ? »Nous sommes trois à être venus sans fusil, en accompagnateurs. D’ailleurs, tout le monde peut demander à l’ACCA de venir assister à la battue. Nous écoutons donc les experts décider du secteur où se déroulera la deuxième traque de la matinée. Dans la poussière du chemin, Bernard Courtet indique à chacun l'endroit où il devra se poster. Nous sommes partis pour rentrer bredouilles, quand... La deuxième traque se déroule sur les hauteurs de Brioude. Le vent souffle et je tends l’oreille, tout en me disant que nous sommes bien partis pour rentrer bredouilles. Mais le sort en a décidé autrement. Cette traque va donner des résultats qui sortent de l’ordinaire pour les chasseurs brivadois… Je chuchote, pas très rassurée Il y a du bruit, là… » Nous sommes dans un bosquet de chênes et, en tendant l’oreille, j’entends les glands tomber au sol. Puis j’entends autre chose. Je chuchote à Bernard Courtet, pas très rassurée Il y a du bruit, là… »Effectivement. Le bruit se transforme en galop. Surgissent des fourrés un, deux, trois, quatre… Je ne sais combien de sangliers ! Mon guide tire et, tout à coup, je prends peur. C’est la première fois que je suis si près d’une arme à feu en pleine action. Dans la surprise et le rush d'adrénaline, je n'ai pas réussi à prendre un seul cliché de la débandade des sangliers. Je me dis que ça doit être difficile de réagir si rapidement, tout en respectant les règles de sécurité, l’angle de tir… Il faut toujours savoir où finit sa balle », m’a expliqué Damien Lorin, le garde-chasse bénévole du harde de sangliers a perdu un de ses membres devant notre poste. Je suis un peu abasourdie. Plus haut, un autre chasseur a fait mouche. Mais ce n’est pas terminé d'autres sangliers se sont réfugiés dans les buissons. La traque reprend. Je tremble, pour la bête et pour moi Nous avons changé de poste et j'entend à nouveau ce bruit caractéristique d'une grosse bestiole qui se fraye un chemin dans les fourrés. Un peu tétanisée, je parviens pourtant à saisir, cette fois, un cliché d'un sanglier qui se sauve à toutes pattes. Il a de la chance si j'ai réussi à le mitrailler avec mon objectif, ce n'est pas le cas des chasseurs et celui-là aura la vie la traque n'est pas terminée. Les chiens font un vacarme de tous les diables. J’entends la bête grogner tout près de nous et je tremble un peu. Pour elle, et pour moi. Je sais qu’en France, plus de la moitié des accidents de chasse se produisent lors des battues au grand gibier. Lors de la saison de chasse 2017-2018, en France, 113 accidents de chasse ont été déplorés, dont 13 mortels C’est finalement le traqueur qui l’aura, après force cris qui servent autant à effrayer le gibier et à encourager les chiens, qu’à permettre aux posteurs de le localiser. Trois sangliers en une seule battue, c’est extrêmement rare à Brioude. Et dire que c’était ma première… Le président, lui, en est à sa 128e, sans incident ». La prochaine doit avoir lieu le 18 novembre. Les chasseurs ont vu Brioude s'urbaniser Le premier permis ed chasse de Bernard Courtet, le président de l'ACCA de Brioude Bernard Courtet, qui préside l’ACCA de Brioude a obtenu son permis de chasse en 1972. Il se souvient Derrière le stade, derrière le lycée, autour de l’Aquabulle, on chassait. Ce n’est pas étonnant que les étourneaux soient dans les platanes il n’y a plus de haies. La déviation aussi a été un drame pour la faune sauvage. »battue Brioude ACCA chasse chasseurs sangliers Peu à peu, les animaux sauvages voient leur habitat disparaître. Du coup, l’ACCA de Brioude n’attire que peu de membres. C’est comme demander à des joueurs de football ou de rugby d’évoluer sur un demi-terrain… Quand ils ont débroussaillé pour l’enduro, près de l’Aquabulle, ils ont enlevé les buissons où les sangliers allaient se cacher. On nous a appelés l’autre jour, il y en avait un dans un jardin à La Bageasse. Les caméras ont même filmé, la nuit, des renards et des sangliers sur le parking d’Intermarché ! » Pomme Labrousse
LOrganisation du Rond : les consignes à annoncer avant chaque battue o Dispositions Générales - Annoncer le nom de l’organisateur de la battue, des chefs de ligne et du ou des chefs de traque. - Annoncer les gibiers et nombre autorisés à tirer, l’enceinte de la battue et l’affectation des postes. - Préciser les munitions autorisées. Garantir la sécurité des chasseurs et des autres usagers Suite de notre série concernant la sécurité à la chasse. Après vous avoir rappelé dans un précédent article les consignes générales à respecter hors action et en action de chasse, abordons maintenant les règles particulières de sécurité en battue. Les battues attirent un nombre de participants important. Un carnet de battue est obligatoire pour toute chasse collective au grand gibier. C’est en général le responsable de la battue qui le remplit et le tient à jour. Y sont notamment inscrits les noms et prénoms des participants, leur numéro de permis, les prélèvements du jour effectués… Attention, le permis devra être validé pour l’année en cours. De même, sachez qu’une personne non enregistrée sur le carnet ne pourra participer à la chasse. Une fois l’accueil des chasseurs effectué, le rond de battue se fait. Il s’agit tout bonnement de rappeler les consignes de sécurité obligation de respecter l’angle de 30° pour tirer, rappel du numéro de plomb à utiliser, désignation du gibier à prélever, indication des lieux de traque et de poste, définition des codes de sonneries… etc. Les règles de sécurité de base en battue Une fois sur le terrain, les chasseurs sont obligatoirement munis d’un cor ou d’une trompe. Ils doivent aussi être vêtus d’un gilet fluorescent de manière à être parfaitement visible. Avant le début de la battue, chaque posté se signale à son voisin par la voix et le geste. Lorsque la battue est lancée, personne ne quitte son emplacement sauf accord ou consigne du chef de battue ou chef de ligne. En cas de rencontre avec du public randonneurs, sportifs, riverains, autres chasseurs, l’arme devra être déchargée. Si le tir peut être effectué, assurez-vous dans un premier temps d’avoir parfaitement identifié votre gibier avant de réaliser un tir fichant. Bien évidemment, respectez autant que possible les distances de tir pour éviter de blesser inutilement l’animal. Le signal de fin de battue viendra mettre un terme à l’action de chasse. A noter enfin que lors d’un changement de traque, vous ne pourrez vous déplacer en véhicule d’un poste de tir à un autre que lorsque l’action de chasse sera terminée, arme démontée ou placée sous étui. Partagez cet article sur evolutiondu nombre de victimes d’accidents 183 190 173 non chasseurs 170 163 25 26 chasseurs 148 157 16 145 147 150 137 15 27 11 126 12 26 130 115 115 18 110 12 17 158 157 147 90 134 133 130 125 121 103 108 98 70 50 3 oncfs – division du permis de chasser – rÉseau sÉcuritÉ À la chasse - 1 – Avant la chasse, au rond – sans arme -, j’écoute attentivement les consignes données pour l’organisation de la battue. Elles précisent obligatoirement les règles de sécurité, les animaux à prélever et le déroulement de la 2 -L’information des autres usagers de la nature promeneurs, randonneurs, cueilleurs, etc. se fait par la pose de panneaux de signalisation sur les chemins et autres voies ouvertes au public. On retire ces panneaux sitôt la battue achevée. A leur passage, j’informe courtoisement ces usagers du déroulement de la battue. 3 – Postés, rabatteurs, conducteurs de chiens solo et meute et accompagnateurs doivent tous être équipés de vêtements de couleur vive, à haute visibilité. De couleur orange de préférence. Postés, rabatteurs, conducteurs de chiens solo et meute et accompagnateurs doivent être équipés de vêtements de couleur vive. La couleur orange est conseillée. 4-Avant le début de la battue, à mon poste de tir, je visualise les angles de 30°, tout en tenant compte de mes voisins,des voies de circulation et des habitations. Pour calculer cet angle de sécurité, je réalise 5 pas de chaque côté de mon poste, puis à la perpendiculaire 3 pas dans la direction de la fuite du gibier, vers le rembûché. Je mémorise ces angles en tenant compte de repères naturels présents souches, arbres particuliers, rochers, tas de bois… ou en matérialisant l’angle brisées, piquets fluo – en photo ci dessus -, morceaux de tissu… 5-Pendant toute la battue, je reste vigilant à toute modification ou évolution de mon environnement promeneurs, véhicules, animaux domestiques… 6-Posté, je tiens l’arme à deux mains, canons dirigés vers le ciel. J’évite de tenir l’arme d’une seule main, je ne tiens pas l’arme à hauteur de hanche, pointée vers les autres chasseurs ou usagers de la nature. Je tire toujours debout, jamais assis. 7-Mon tir doit toujours être fichant afin de conserver le plus possible la maîtrise de la trajectoire du projectile. Il doit être effectué à courte distance ; maximum 30 mètres. Le tir à l’intérieur de la traque doit être rigoureusement encadré et limité, et nécessite l’autorisation du responsable de la chasse ou du chef de ligne. 8-Dès que je rejoins des chasseurs, rabatteurs, conducteurs de chiens ou accompagnateurs, j’ouvre mon arme, je la décharge et la désapprovisionne. Je ne me déplace jamais avec une arme chargée. Lesrègles de sécurité à respecter pour la chasse au gros gibier. La détention d’un permis de chasse ainsi que d’une assurance validée pour la saison en cours est obligatoire pour chasser le gros gibier. Etant donné que cette activité est un loisir à partager entre amis, il faut impérativement respecter les consignes de sécurité
La chasse est un loisir de nature réglementé, qui s’exerce par les titulaires d’un permis de chasser validé, sur une liste d’espèces fixée par arrêté ministériel, selon des méthodes déterminées par la loi et pendant une période fixée par l’autorité administrative Préfecture. Quand la chasse est soumise à une réglementation, la pratique de la chasse en dehors de son cadre légal est appelée braconnage. La cynégétique est l’art de la chasse. La destruction des espèces qualifiées de nuisibles constitue un moyen de défense contre les dommages provoqués par certaines espèces animales, dont la liste est fixée par arrêté ministériel, exercé par le propriétaire, le possesseur, le fermier ou leur délégué, selon les moyens et la période déterminés par l’autorité administrative. C’est le ministre chargé de la chasse qui fixe, à travers 3 arrêtés, la liste des espèces classées nuisibles pour l’ensemble du territoire national R. 427-6 I du code de l’environnement, la liste des espèces classées nuisibles dans tout ou partie d’un département R. 427-6 II du code Env., et celles susceptibles d’être classées nuisibles localement par arrêté préfectoral R. 427-6 III du code Env.. Le classement d’une espèce en espèce nuisible sera justifié par l’atteinte que peut porter l’espèce à la santé et à la sécurité publique, à la protection de la flore et de la faune ou aux activités agricoles, forestières, aquacoles, et à d’autres formes de propriété. Les espèces susceptibles d’occasionner des dégâts La régulation d’animaux susceptibles d’occasionner des dégâts aux activités humaines ou d’endommager les équilibres biologiques est aussi réglementée. La destruction d’animaux dits nuisibles » est un droit de protection conféré aux propriétaires ou aux agriculteurs, mais il est encadré par des textes – décrets ministériels et arrêtés préfectoraux – qui précisent la liste, les périodes et les modalités de destruction des espèces concernées. Conformément au Code de l’Environnement, le caractère nuisible » d’une espèce s’évalue au regard de l’un au moins des critères suivants – Dans l’intérêt de la santé et de la sécurité publique – Pour assurer la protection de la flore et de la faune – Pour prévenir des dommages importants aux activités agricoles, forestières et aquacoles – Pour prévenir les dommages importants à d’autres formes de propriété, sauf pour les espèces d’oiseaux. La sécurité à la chasse Respect des 30 degrés pour le tir, des cultures et de la distance de 150 mètres autour des maisons, de l’importance des parcs aux animaux, respect d’autrui promeneurs comme vélos, un code de bonne conduite existe pour chasser en toute sécurité. L’établissement sensibilise les chasseurs et accompagne les fédérations dans la mise en œuvre des consignes de sécurité. En collaboration avec les autres services de l’État, l’OFB met également en place les dispositifs nécessaires au contrôle du bon respect des règles de transport, de détention et de manipulation de l’armement. Le Code de l’environnement reprend cette réglementation Nul ne peut pratiquer la chasse s’il n’est titulaire et porteur d’un permis de chasser valable. La délivrance du permis de chasser est subordonnée à l’admission à un examen. Cet examen porte notamment sur la connaissance de la faune sauvage, la réglementation de la chasse, ainsi que sur les règles de sécurité qui doivent être respectées lors du maniement des armes, dont la maîtrise sera évaluée à l’occasion d’une épreuve pratique. Le permis de chasser peut-être retiré en cas de condamnation pour homicide involontaire ou pour coups et blessures involontaires survenus à l’occasion d’une action de chasse ou de destruction d’animaux nuisibles. » Les règles à respecter pour chasser + Il est interdit de faire usage d’armes à feu sur les routes et chemins publics et sur les voies ferrées. + Il est interdit à toute personne placée à portée de fusil d’une de ces routes, chemins ou voies ferrées de tirer dans cette direction ou au-dessus. Toute personne placée à portée de fusil des lieux listés ci-après a l’interdiction de tirer en direction des stades et lieux de réunions publiques en général des habitations particulières y compris caravanes, remises, abris de jardin des bâtiments et constructions dépendant des aéroports + Les chasses collectives au grand gibier ou au petit gibier –dénommées aussi battues – sont très encadrées et les consignes de sécurité doivent y être scrupuleusement appliquées par tous les participants le port des vêtements de couleur fluo est de plus en plus courant et dans la plupart des cas obligatoire ; le transport des armes de chasse est réglementé ; le chasseur doit toujours prendre en compte son environnement avant d’effectuer un quelconque tir. Les accidents de chasse Depuis 1997, l’ONCFS puis l’OFB et les fédérations départementales des chasseurs se mobilisent activement pour réduire les accidents, notamment au travers de la formation et de la conduite de nombreuses opérations de communication. Le nombre d’accidents survenus à la chasse corporels et mortels a significativement baissé ces dernières années. La Fédération nationale de la chasse et l’Office français de la biodiversité présentent le bilan annuel des accidents de chasse pour la période 2019-2020. En 20 ans, la tendance globale des accidents de chasse est à la baisse. Le nombre d’accidents a ainsi diminué de 41 % comparé à son niveau de 1999 et reste inférieur à la moyenne générale de ces vingt dernières années qui est de 158 victimes par an. La saison 2019-2020 est malgré tout plus accidentogène que la précédente, avec 141 victimes contre 131. En 2019-2020, 11 accidents mortels ont eu lieu contre 7 durant la saison précédente. Le nombre d’accidents mortels a toutefois chuté de 71% comparé à 1999. Cette saison, les accidents se sont principalement produits lors de chasse au grand gibier 56% et au petit gibier à plume 36%, avec seulement 8% occasionnés lors de chasse au petit gibier à poil. Les auto-accidents ont augmenté, et ils se sont majoritairement produits lors de chasse au grand gibier. 90% des victimes des accidents étaient des chasseurs. Chasse et confinement – une dérogation accordée pour les battues collectives de régulation du grand gibier à compter du dimanche 15 novembre 2020. Depuis l’entrée en vigueur du deuxième confinement le 30 octobre dernier, les actions de chasse sont suspendues dans le département du Doubs. Toutefois, certaines espèces chassables sont susceptibles de causer des dégâts importants aux cultures, aux prairies ou aux forêts. Il est par conséquent nécessaire de permettre la reprise des prélèvements afin de réduire les risques de dégâts pénalisants pour les filières économiques concernées et de maîtriser l’évolution des populations des espèces en cause. En conséquence, en application de la circulaire ministérielle du 31 octobre et après consultation de la commission départementale de la chasse et de la faune sauvage réunie le 6 novembre, le préfet du Doubs a décidé d’accorder une dérogation aux obligations de confinement pour les battues collectives de régulation des seules espèces sanglier, cerf et chevreuil à compter du dimanche 15 novembre, uniquement les samedis et dimanches. Le déroulement de ces battues devra respecter un protocole sanitaire strict dont la bonne application incombe aux responsables des territoires de chasse qui auront préalablement été sensibilisés par la Fédération Départementale des Chasseurs du Doubs, en partenariat avec l’Agence Régionale de Santé. En particulier, les cabanes de chasse resteront fermées et les moments de convivialité seront proscrits. La chasse des autres espèces et les autres modes de chasse demeurent suspendus. De même, pendant cette période de confinement, il est interdit de procéder à toute opération de régulation des espèces dites susceptibles d’occasionner des dégâts dans le département du Doubs, à savoir notamment ragondin, renard, fouine, corbeau freux ou corneille noire. En cas de problématique particulière et localisée, une autorisation spécifique pourra être délivrée après analyse au cas par cas, là aussi au titre des missions d’intérêt général sur demande de l’autorité administrative. Dates de chasse dans le département du Doubs Ouverture 13 septembre 2020 à 8h Fermeture 28 février 2021 au soir Arrêté Préfectoral dérogations-confinement-régulation faune sauvage 2020-2021 Doubs Arrêté Préfectoral modification ouverture-clôture-chasse 2020-2021 Doubs Arrêté Préfectoral ouverture-clôture-chasse 2020-2021 Doubs Le Maire Michel VERDIERE
Plusde 70 % des dégâts provoqués par le grand gibier dans les cultures sont imputables au sanglier, dans la Vienne. Environ 27 % sont provoqués par le cerf et 3 % Auteur Suzanne Boireau-Tartarat Publié vendredi 8 septembre 2017 Gibier. La saison de chasse à tir ouvre ce dimanche 10 septembre. La Fédération départementale des chasseurs de la Dordogne a profité d’une séance d’information sur la sécurité en battue, à La Roche-Chalais, pour faire un point plus général. La chasse s’ouvre à plus de sécurité Le pavillon de chasse Darnat, à La Roche-Chalais, est bien rempli et l’ambiance est studieuse. Les inscrits ont décliné leur numéro de permis en arrivant et écoutent le technicien rappeler les consignes générales de sécurité, et plus particulièrement celles de la chasse au grand gibier en battue, avant de se diriger vers les exercices pratiques qui leur permettront d’observer le positionnement, le respect des angles, le maniement des armes, toutes révisions utiles qui garantissent la sécurité de tous. Ces demi-journées d’information répondent à un véritable besoin, souligne Michel Amblard, président de la Fédération des chasseurs de la Dordogne. Près de 300 sociétés ont déjà fait acte de candidature pour cette première saison, soit plus de 3 000 chasseurs. » Elles s’ajoutent aux formations en vigueur et opérations de sensibilisation, et permettent des rencontres de proximité, sur le terrain. Les équipes au complet y trouvent des réponses concrètes aux caractéristiques de leur territoire. Des formations existent déjà depuis une dizaine d’années pour les directeurs de battues ils sont responsables d’une équipe et donnent les consignes de sécurité, d’organisation de la partie. Nous avons formé 4 000 directeurs de battues et des responsables de lignes, qui viennent en renfort, souligne Yves Chétaneau, administrateur de la Fédération. Nous allons maintenant plus loin en faisant le tour des huit secteurs de chasse du département. Ces formations de proximité réunissent quarante participants par séance, toute une équipe de battue. » Ces demi-journées viennent en complément de la vingtaine de séances délocalisées déjà proposées. Beaucoup plus théoriques, elles avaient attiré 3000 chasseurs sur des sujets comme la balistique, les risques de ricochets et effets tunnel. On a le souci d’aller au contact et de rester dans le registre pratique. » Celui-ci porte sur la manipulation d’armes et les angles de sécurité à respecter. Nous souhaitons que tous s’approprient au mieux ces règles de sécurité. Nous faisons de gros efforts dans les moyens mis à disposition, nous ajoutons cette année 1 500 miradors aux 5 000 déjà mis en place dans tout le département pour faire du tir fichant, de haut en bas. » Comme c’est aussi le cas en matière de sécurité routière, les détenteurs d’un permis récent sont davantage sensibilisés à ces questions, et les autres sont peut-être ancrés dans des habitudes qu’il faut faire évoluer c’est tout l’enjeu de la formation continue. Ouverture générale Tous les participants seront donc parés pour l’ouverture générale, dimanche à 8 heures et jusqu’au 28 février à 18 heures. Pour respecter la biologie et les rythmes de reproduction des espèces, certaines chasses comme celles des cervidés et du lièvre, sont repoussées au mois d’octobre. Les consignes de sécurité sont d’autant plus importantes que la chasse au sanglier est autorisée tous les jours, décision prise avec les services de l’État, ce qui place les chasseurs en présence des autres usagers de la nature. Le partage de l’espace se fait en bonne intelligence. Ici même, l’autre dimanche, une marche était organisée, les organisateurs nous ont fait connaître les circuits et nous avons changé nos plans de chasse. » La communication passe utilement par les mairies, qui font le lien avec les 1 500 sociétés de chasse réparties sur l’ensemble des communes de Dordogne, lesquelles prennent des mesures lorsque des rallyes et randonnées sont battues, tout comme les interventions en zone périurbaine, entrent dans la nécessaire régulation des populations de gibiers qui endommagent les cultures et s’approchent des habitations. Deux ouvertures anticipées ont déjà eu lieu. Le 15 août pour le sanglier et au 1er juin pour l’approche et l’affût du chevreuil et du sanglier, avec possibilité de tirer le renard. » Michel Amblard parle en passionné, mais indique que la chasse est d’abord une nécessité. Une année sans plan de chasse serait une catastrophe, notamment pour les cultures. » Il suffit de se reporter aux chiffres ci-contre. Il déplore que beaucoup d’agriculteurs ne soient plus chasseurs. Ils n’ont plus cette culture, mais attendent beaucoup de nous. » Le profil du chasseur Le chasseur est issu de petites communes ou de l’espace périurbain, et souvent d’une famille de chasseurs. Le nombre de chasseurs ruraux diminue parce que la population diminue aussi dans cet espace, explique encore Yves Chétaneau. Parallèlement, les espèces prolifèrent. Nous maîtrisons la situation en ciblant les secteurs à problème. La Dordogne est bien placée parmi les départements pour le cerf et, dans une moindre mesure, le sanglier. » Les animaux sauvages savent trouver les zones de tranquillité et les chasseurs ont du mal à approcher ces espaces de refuge, à proximité des maisons ou dans les ronciers, les mitages de territoires non chassés et les bordures d’autoroute. Tout est dans l’équilibre cynégétique. Les massifs forestiers sont riches en gros gibier et la Fédération s’efforce d’éviter leur installation dans les zones agricoles. Le travail de concertation est réel entre chasseurs, agriculteurs et forestiers. Les chasseurs, en plus d’assurer une régulation, remplissent bénévolement une mission sanitaire avec des piégeurs pour la capture de blaireaux. Bienvenue aux nouveaux Pour susciter l’intérêt et attirer de nouveaux chasseurs, la Fédération a élargi cette année le permis à zéro euro qu’elle avait mis en place pour les moins de 25 ans validation, timbre aux grands gibiers et assurance sont pris en charge pour tout nouveau chasseur. Cette année, le nombre d’inscrits au permis est en légère hausse 10 %. Avant cela, une offre de parrainage permettait un demi-tarif pour le nouvel arrivant présenté par un membre affilié. Un partenariat avec les armuriers permet aussi de convaincre des indécis, le facteur coût intervenant aussi dans le choix de l’équipement. Un système d’offres de réductions s’est mis en place avec les professionnels il en existe au moins un dans chaque chef-lieu de canton. Autre porte d’entrée le choix de sa société de chasse. Quelle équipe intégrer ? La Fédération a amélioré la bourse aux territoires diffusée sur son site Internet, avec des offres postées plus régulièrement. Enfin, Un dimanche à la chasse permet depuis 4 ans de suivre une partie une centaine de personnes viennent chaque année. Le 15 octobre, le public pourra découvrir le monde de la chasse... et chasser quelques idées reçues avec une équipe qui l’accompagnera à l’occasion de cette opération, qu’il s’agisse de battue, petit gibier, approche ou palombière. C’est possible près de chez soi, gratuitement et sans formalités. ÉTAT DES LIEUX • L’année 2016/17 en chiffres- 20 070 validations de 1 764 cerfs prélevés pour 2 282 attributions ; 15 247 chevreuils pour16 768 ; 10 071 sangliers dont 260 en mars et 219 entre le 1er juin et le 15 août. Les attributions sont similaires à l’année précédente. - 1 137 personnes ont bénéficié d’une ou plusieurs formations à la Fédération permis de chasser, chasse accompagnée, chasse à l’arc, chasse silencieuse, directeur de battue, hygiène et venaison, piégeur agréé, garde particulier, régulation de corvidés. • Déchets de venaisonDans le cadre de la veille sanitaire, une collecte des déchets de venaison s’effectue dans 51 points du département, ce qui représente 324 tonnes ramassées et traitées la saison dernière. Entièrement financée par les chasseurs, elle a été mise en place avec une société d’équarrissage. Lancée il y a 6 ans 200 tonnes collectées à l’époque, la collecte a débuté plus tôt cette saison, au 15 août. • EnvironnementJusqu’à présent, si les cartouches étaient bien ramassées, elles n’étaient pas recyclées et partaient avec les déchets courants. Cette saison,5 000 sacs vont être distribués pour la collecte des cartouches vides. Ils seront rapportés dans les lieux de collecte permanences et siège social de la Fédération pour être pris en charge par Suez, qui va valoriser le métal et le plastique séparément. Toutes les sociétés de chasse, les associations et les palombières 1 950 en Dordogne vont en bénéficier. • EmploiLa Fédération emploie 19 personnes, dont 8 techniciens. wCyz.
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  • consigne de sĂ©curitĂ© avant battue grand gibier