Lhomme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre . Adresse msn ==> gothico67@ Il Ă©TaIt uNe fOiS Un pEtIt gArĂoN QuI Se pRoMeNaIt dAnS La pRaIrIe, Un cOuTeAu Ă lA MaIn M O T H E R F ULâhomme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, et nul ne se connaĂźt tant quâil nâa pas souffert. Toute douleur qui nâaide personne est absurde. La mort nâest pas une chose si sĂ©rieuse â la douleur, oui. Le souvenir du bonheur nâest plus du bonheur â le souvenir de la douleur est de la douleur encore. Rien nâest vrai, rien nâest faux â tout est songe et mensonge, illusion du coeur quâun vain espoir prolonge. Nos seules vĂ©ritĂ©s, hommes, sont nos douleurs. Ici-bas, la douleur Ă la douleur sâenchaĂźne. Le jour succĂšde au jour, et la peine Ă la peine. Une grande Ăąme est au-dessus de lâinjure, de lâinjustice, de la douleur, de la moquerie â et elle serait invulnĂ©rable si elle ne souffrait par la compassion. Les joies des hommes sont aussi horribles que leurs douleurs. De deux douleurs simultanĂ©es, la plus forte obscurcit lâautre. Je ne peux supporter la douleur que quand elle ne fait pas souffrir.
Lhomme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, et nul ne se connaĂźt tant qu'il n'a pas souffert. Alfred de Musset , La Nuit d'octobre (1837) 6 Apprenti n'est pas maĂźtre. Proverbe Français 1LE POĂTE Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rĂȘve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'Ă ces brouillards lĂ©gers que l'aurore soulĂšve, Et qu'avec la rosĂ©e on voit s'Ă©vanouir. LA MUSE Qu'aviez-vous donc, ĂŽ mon poĂšte ! Et quelle est la peine secrĂšte Qui de moi vous a sĂ©parĂ© ? HĂ©las ! je m'en ressens encore. Quel est donc ce mal que j'ignore Et dont j'ai si longtemps pleurĂ© ? LE POĂTE C'Ă©tait un mal vulgaire et bien connu des hommes ; Mais, lorsque nous avons quelque ennui dans le coeur, Nous nous imaginons, pauvres fous que nous sommes, Que personne avant nous n'a senti la douleur. LA MUSE Il n'est de vulgaire chagrin Que celui d'une Ăąme vulgaire. Ami, que ce triste mystĂšre S'Ă©chappe aujourd'hui de ton sein. Crois-moi, parle avec confiance ; Le sĂ©vĂšre dieu du silence Est un des frĂšres de la Mort ; En se plaignant on se console, Et quelquefois une parole Nous a dĂ©livrĂ©s d'un remord. LE POĂTE S'il fallait maintenant parler de ma souffrance, Je ne sais trop quel nom elle devrait porter, Si c'est amour, folie, orgueil, expĂ©rience, Ni si personne au monde en pourrait profiter. Je veux bien toutefois t'en raconter l'histoire, Puisque nous voilĂ seuls, assis prĂšs du foyer. Prends cette lyre, approche, et laisse ma mĂ©moire Au son de tes accords doucement s'Ă©veiller. LA MUSE Avant de me dire ta peine, Ă poĂšte ! en es-tu guĂ©ri ? Songe quâil tâen faut aujourdâhui Parler sans amour et sans haine. Sâil te souvient que jâai reçu Le doux nom de consolatrice, Ne fais pas de moi la complice Des passions qui tâont perdu, LE POĂTE Je suis si bien guĂ©ri de cette maladie, Que jâen doute parfois lorsque jây veux songer ; Et quand je pense aux lieux oĂč jâai risquĂ© ma vie, Jây crois voir Ă ma place un visage Ă©tranger. Muse, sois donc sans crainte ; au souffle qui tâinspire Nous pouvons sans pĂ©ril tous deux nous confier. Il est doux de pleurer, il est doux de sourire Au souvenir des maux quâon pourrait oublier. LA MUSE Comme une mĂšre vigilante Au berceau dâun fils bien-aimĂ©, Ainsi je me penche tremblante Sur ce coeur qui mâĂ©tait fermĂ©. Parle, ami, â ma lyre attentive Dâune note faible et plaintive Suit dĂ©jĂ lâaccent de ta voix, Et dans un rayon de lumiĂšre, Comme une vision lĂ©gĂšre, Passent les ombres dâautrefois. LE POĂTE Jours de travail ! seuls jours oĂč jâai vĂ©cu ! Ă trois fois chĂšre solitude ! Dieu soit louĂ©, jây suis donc revenu, Ă ce vieux cabinet dâĂ©tude ! Pauvre rĂ©duit, murs tant de fois dĂ©serts, Fauteuils poudreux, lampe fidĂšle, Ă mon palais, mon petit univers, Et toi, Muse, ĂŽ jeune immortelle, Dieu soit louĂ©, nous allons donc chanter ! Oui, je veux vous ouvrir mon Ăąme, Vous saurez tout, et je vais vous conter Le mal que peut faire une femme ; Car câen est une, ĂŽ mes pauvres amis HĂ©las ! vous le saviez peut-ĂȘtre, Câest une femme Ă qui je fus soumis, Comme le serf lâest Ă son maĂźtre. Joug dĂ©testĂ© ! câest par lĂ que mon coeur Perdit sa force et sa jeunesse ; - Et cependant, auprĂšs de ma maĂźtresse, Jâavais entrevu le bonheur. PrĂšs du ruisseau, quand nous marchions ensemble, Le soir, sur le sable argentin, Quand devant nous le blanc spectre du tremble De loin nous montrait le chemin ; Je vois encore, aux rayons de la lune, Ce beau corps plier dans mes bras⊠Nâen parlons plus⊠â je ne prĂ©voyais pas OĂč me conduirait la Fortune. Sans doute alors la colĂšre des dieux Avait besoin dâune victime ; Car elle mâa puni comme dâun crime Dâavoir essayĂ© dâĂȘtre heureux. LA MUSE Lâimage dâun doux souvenir Vient de sâoffrir Ă ta pensĂ©e. Sur la trace quâil a laissĂ©e Pourquoi crains-tu de revenir ? Est-ce faire un rĂ©cit fidĂšle Que de renier ses beaux jours ? Si ta fortune fut cruelle, Jeune homme, fais du moins comme elle, Souris Ă tes premiers amours. LE POĂTE Non, â câest Ă mes malheurs que je prĂ©tends sourire. Muse, je te lâai dit je veux, sans passion, Te conter mes ennuis, mes rĂȘves, mon dĂ©lire, Et tâen dire le temps, lâheure et lâoccasion. CâĂ©tait, il mâen souvient, par une nuit dâautomne, Triste et froide, Ă peu prĂšs semblable Ă celle-ci ; Le murmure du vent, de son bruit monotone, Dans mon cerveau lassĂ© berçait mon noir souci. JâĂ©tais Ă la fenĂȘtre, attendant ma maĂźtresse ; Et, tout en Ă©coutant dans cette obscuritĂ©, Je me sentais dans lâĂąme une telle dĂ©tresse Quâil me vint le soupçon dâune infidĂ©litĂ©. La rue oĂč je logeais Ă©tait sombre et dĂ©serte ; Quelques ombres passaient, un falot Ă la main ; Quand la bise sifflait dans la porte entrâouverte, On entendait de loin comme un soupir humain. Je ne sais, Ă vrai dire, Ă quel fĂącheux prĂ©sage Mon esprit inquiet alors sâabandonna. Je rappelais en vain un reste de courage, Et me sentis frĂ©mir lorsque lâheure sonna. Elle ne venait pas. Seul, la tĂȘte baissĂ©e, Je regardai longtemps les murs et le chemin, - Et je ne tâai pas dit quelle ardeur insensĂ©e Cette inconstante femme allumait en mon sein ; Je nâaimais quâelle au monde, et vivre un jour sans elle Me semblait un destin plus affreux que la mort. Je me souviens pourtant quâen cette nuit cruelle Pour briser mon lien je fis un long effort. Je la nommai cent fois perfide et dĂ©loyale, Je comptai tous les maux quâelle mâavait causĂ©s. HĂ©las ! au souvenir de sa beautĂ© fatale, Quels maux et quels chagrins nâĂ©taient pas apaisĂ©s ! Le jour parut enfin. â Las dâune vaine attente, Sur le bord du balcon je mâĂ©tais assoupi ; Je rouvris la paupiĂšre Ă lâaurore naissante, Et je laissai flotter mon regard Ă©bloui. Tout Ă coup, au dĂ©tour de lâĂ©troite ruelle, Jâentends sur le gravier marcher Ă petit bruit⊠Grand Dieu ! prĂ©servez-moi ! je lâaperçois, câest elle ; Elle entre. â DâoĂč viens-tu ? Quâas-tu fait cette nuit ? RĂ©ponds, que me veux-tu ? qui tâamĂšne Ă cette heure ? Ce beau corps, jusquâau jour, oĂč sâest-il Ă©tendu ? Tandis quâĂ ce balcon, seul, je veille et je pleure, En quel lieu, dans quel lit, Ă qui souriais-tu ? Perfide ! audacieuse ! est-il encor possible Que tu viennes offrir ta bouche Ă mes baisers ? Que demandes-tu donc ? par quelle soif horrible Oses-tu mâattirer dans tes bras Ă©puisĂ©s ? Va-tâen, retire-toi, spectre de ma maĂźtresse ! Rentre dans ton tombeau, si tu tâen es levĂ© ; Laisse-moi pour toujours oublier ma jeunesse, Et, quand je pense Ă toi, croire que jâai rĂȘvĂ© ! LA MUSE Apaise-toi, je tâen conjure ; Tes paroles mâont fait frĂ©mir. Ă mon bien-aimĂ© ! ta blessure Est encor prĂȘte Ă se rouvrir. HĂ©las ! elle est donc bien profonde ? Et les misĂšres de ce monde Sont si lentes Ă sâeffacer ! Oublie, enfant, et de ton Ăąme Chasse le nom de cette femme, Que je ne veux pas prononcer. LE POĂTE Honte Ă toi qui la premiĂšre Mâas appris la trahison, Et dâhorreur et de colĂšre Mâas fait perdre la raison ! Honte Ă toi, femme Ă lâoeil sombre, Dont les funestes amours Ont enseveli dans lâombre Mon printemps et mes beaux jours ! Câest ta voix, câest ton sourire, Câest ton regard corrupteur, Qui mâont appris Ă maudire Jusquâau semblant du bonheur ; Câest ta jeunesse et tes charmes Qui mâont fait dĂ©sespĂ©rer, Et si je doute des larmes, Câest que je tâai vu pleurer. Honte Ă toi, jâĂ©tais encore Aussi simple quâun enfant ; Comme une fleur Ă lâaurore, Mon coeur sâouvrait en tâaimant. Certes, ce coeur sans dĂ©fense Put sans peine ĂȘtre abusĂ© ; Mais lui laisser lâinnocence Ătait encor plus aisĂ©. Honte Ă toi ! tu fus la mĂšre De mes premiĂšres douleurs, Et tu fis de ma paupiĂšre Jaillir la source des pleurs ! Elle coule, sois-en sĂ»re, Et rien ne la tarira ; Elle sort dâune blessure Qui jamais ne guĂ©rira ; Mais dans cette source amĂšre Du moins je me laverai, Et jây laisserai, jâespĂšre, Ton souvenir abhorrĂ© ! LA MUSE PoĂšte, câest assez. AuprĂšs dâune infidĂšle, Quand ton illusion nâaurait durĂ© quâun jour, Nâoutrage pas ce jour lorsque tu parles dâelle ; Si tu veux ĂȘtre aimĂ©, respecte ton amour. Si lâeffort est trop grand pour la faiblesse humaine De pardonner les maux qui nous viennent dâautrui, Ăpargne-toi du moins le tourment de la haine ; Ă dĂ©faut du pardon, laisse venir lâoubli. Les morts dorment en paix dans le sein de la terre Ainsi doivent dormir nos sentiments Ă©teints. Ces reliques du coeur ont aussi leur poussiĂšre ; Sur leurs restes sacrĂ©s ne portons pas les mains. Pourquoi, dans ce rĂ©cit dâune vive souffrance, Ne veux-tu voir quâun rĂȘve et quâun amour trompĂ© ? Est-ce donc sans motif quâagit la Providence Et crois-tu donc distrait le Dieu qui tâa frappĂ© ? Le coup dont tu te plains tâa prĂ©servĂ© peut-ĂȘtre, Enfant ; car câest par lĂ que ton coeur sâest ouvert. Lâhomme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, Et nul ne se connaĂźt tant quâil nâa pas souffert. Câest une dure loi, mais une loi suprĂȘme, Vieille comme le monde et la fatalitĂ©, Quâil nous faut du malheur recevoir le baptĂȘme, Et quâĂ ce triste prix tout doit ĂȘtre achetĂ©. Les moissons pour mĂ»rir ont besoin de rosĂ©e ; Pour vivre et pour sentir lâhomme a besoin des pleurs ; La joie a pour symbole une plante brisĂ©e, Humide encor de pluie et couverte de fleurs. Ne te disais-tu pas guĂ©ri de ta folie ? Nâes-tu pas jeune, heureux, partout le bienvenu ? Et ces plaisirs lĂ©gers qui font aimer la vie, Si tu nâavais pleurĂ©, quel cas en ferais-tu ? Lorsquâau dĂ©clin du jour, assis sur la bruyĂšre, Avec un vieil ami tu bois en libertĂ©, Dis-moi, dâaussi bon coeur lĂšverais-tu ton verre, Si tu nâavais senti le prix de la gaĂźtĂ© ? Aimerais-tu les fleurs, les prĂ©s et la verdure, Les sonnets de PĂ©trarque et le chant des oiseaux, Michel-Ange et les arts, Shakspeare et la nature, Si tu nây retrouvais quelques anciens sanglots ? Comprendrais-tu des cieux lâineffable harmonie, Le silence des nuits, le murmure des flots, Si quelque part lĂ -bas la fiĂšvre et lâinsomnie Ne tâavaient fait songer Ă lâĂ©ternel repos ? Nâas-tu pas maintenant une belle maĂźtresse ? Et, lorsquâen tâendormant tu lui serres la main, Le lointain souvenir des maux de ta jeunesse Ne rend-il pas plus doux son sourire divin ? Nâallez-vous pas aussi vous promener ensemble Au fond des bois fleuris, sur le sable argentin ? Et, dans ce vert palais, le blanc spectre du tremble Ne sait-il plus, le soir, vous montrer le chemin ? Ne vois-tu pas alors, aux rayons de la lune, Plier comme autrefois un beau corps dans tes bras, Et si dans le sentier tu trouvais la Fortune, DerriĂšre elle, en chantant, ne marcherais-tu pas ? De quoi te plains-tu donc ? Lâimmortelle espĂ©rance Sâest retrempĂ©e en toi sous la main du malheur. Pourquoi veux-tu haĂŻr ta jeune expĂ©rience, Et dĂ©tester un mal qui tâa rendu meilleur ? Ă mon enfant ! plains-la, cette belle infidĂšle, Qui fit couler jadis les larmes de tes yeux ; Plains-la ! câest une femme, et Dieu tâa fait, prĂšs dâelle, Deviner, en souffrant, le secret des heureux. Sa tĂąche fut pĂ©nible ; elle tâaimait peut-ĂȘtre ; Mais le destin voulait quâelle brisĂąt ton coeur. Elle savait la vie, et te lâa fait connaĂźtre ; Une autre a recueilli le fruit de ta douleur. Plains-la ! son triste amour a passĂ© comme un songe ; Elle a vu ta blessure et nâa pu la fermer. Dans ses larmes, crois-moi, tout nâĂ©tait pas mensonge. Quand tout lâaurait Ă©tĂ©, plains-la ! tu sais aimer. LE POĂTE Tu dis vrai la haine est impie, Et câest un frisson plein dâhorreur Quand cette vipĂšre assoupie Se dĂ©roule dans notre coeur. Ăcoute-moi donc, ĂŽ dĂ©esse ! Et sois tĂ©moin de mon serment Par les yeux bleus de ma maĂźtresse, Et par lâazur du firmament ; Par cette Ă©tincelle brillante Qui de VĂ©nus porte le nom, Et, comme une perle tremblante, Scintille au loin sur lâhorizon ; Par la grandeur de la nature, Par la bontĂ© du CrĂ©ateur, Par la clartĂ© tranquille et pure De lâastre cher au voyageur. Par les herbes de la prairie, Par les forĂȘts, par les prĂ©s verts, Par la puissance de la vie, Par la sĂšve de lâunivers, Je te bannis de ma mĂ©moire, Reste dâun amour insensĂ©, MystĂ©rieuse et sombre histoire Qui dormiras dans le passĂ© ! Et toi qui, jadis, dâune amie Portas la forme et le doux nom, Lâinstant suprĂȘme oĂč je tâoublie Doit ĂȘtre celui du pardon. Pardonnons-nous ; â je romps le charme Qui nous unissait devant Dieu. Avec une derniĂšre larme Reçois un Ă©ternel adieu. - Et maintenant, blonde rĂȘveuse, Maintenant, Muse, Ă nos amours ! Dis-moi quelque chanson joyeuse, Comme au premier temps des beaux jours. DĂ©jĂ la pelouse embaumĂ©e Sent les approches du matin ; Viens Ă©veiller ma bien-aimĂ©e, Et cueillir les fleurs du jardin. Viens voir la nature immortelle Sortir des voiles du sommeil ; Nous allons renaĂźtre avec elle Au premier rayon du soleil ! Citationde Alfred de Musset - L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, Et nul ne se connaĂźt tant qu'il n'a pas souffert. Accueil; Auteurs; ThĂšmes ; Citation de Alfred de Musset âL'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, Et nul ne se connaĂźt tant qu'il n'a pas souffert.â â Alfred de Musset. Source: PoĂ©sies nouvelles de Alfred de Musset, 1836-1852 Dans mon bouquin mon pĂŽte Alex m'a Ă©crit cette pensĂ©e d'Alfred de Musset L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, et nul ne se connaĂźt tant qu'il n'a pas souffert.? En voyant le Thalassa de vendredi on constate la force et l'Ă©nergie de tous les stagiaires, chacun a sa part de souffrances et d'injustices et le miracle de la vie fait que tout le monde rĂ©ussi Ă trouver la petite Ă©tincelle pour allumer le grand feu de la vie. J'ai Ă©tĂ© heureux de partager cette semaine avec vous et comme le symbolise cette photo "rien n'est impossible". Il ne faut pas oublier d'oĂč on vient sans ĂȘtre passĂ©iste et regarder le futur sans oublier que le plus important c'est l'instant prĂ©sent. Dans quelques mois je pars pour une longue aventure qui m'isolera longtemps, sachez que vos sourires m'accompagneront dans les moments difficiles. Je continuerai la croisade Bout de vie car je crois que sur cette terre d'Ă©goĂŻstes et de nombrilistes les vraies valeurs sont, l'amour et le partage. Tous le reste n'est qu'Ă©phĂ©mĂšre comme notre passage sur terre d'ailleurs. Je vous embrasse tous et que votre chemin ne soit plus qu'un sentier de lumiĂšre qui Ă son tour Ă©clairera les autres. PS Jo Zef s'est vu dans les bras de Louane dans le reportage ! Je vous explique pas comme il frime maintenant !!! A pluche
InvitĂ©InvitĂ©Lun 31 AoĂ» - 1722La LandePokĂ©mon aperçusG1 G2 G3 G4 G5 G6 G7 G8 Eos O'MalleyObjets utilisĂ©s x0PokĂ©mon capturĂ©sExpĂ©rience+12 CoconfortNolwenn O'ReillyObjets utilisĂ©s x0PokĂ©mon capturĂ©sExpĂ©rienceEcrire ici By Evaporter InvitĂ©InvitĂ©Lun 31 AoĂ» - 1722Tu Ă©tais partie pour tâoccuper de tes pokĂ©mons Ă lâĂ©levage, essayer de rĂ©parer la cabane de jardin et simplement⊠faire ton office. Le truc, Eos, câest que tâas encore sacrĂ©ment mal au mal. Au pire. Au dos⊠Tâas 29 ans, ma pauvre, et tu es dĂ©jĂ cassĂ©e en morceau. Bon, il faut dire que tu as quand mĂȘme bien subis ces derniers temps. Entre tes pieds ouverts et sanglants aprĂšs ta course poursuite pour retrouver Natsu et Ethan, et le feu que les Caninos ont provoquĂ©, tu as quand mĂȘme sacrĂ©ment subi. LâĂ©levage aussi. Tes nerfs, ton coeur, ton esprit. Alors oui, aujourdâhui tu devrais rĂ©parer et avancer les travaux mais tu nâen as pas le soupirant, tu viens changer tes plans, pour la simple et bonne raison quâun de tes pots de plantes aromatiques est sacrĂ©ment bas. Tu te connais, tu nâen as pas spĂ©cialement lĂ maintenant, mais ca va te tomber dessus et tu vas devoir partir de la maison en courant. Autant y aller maintenant ? Ouais, voilĂ , câest exactement ce que tu vas faire. Alors tu te dĂ©pĂȘches de passer par la salle de bain, prendre une douche, ressortir, enfiler un short en jean, et un corsage crĂšme avant de prendre le chemin de la nâest pas encore en Ă©tat de se promener, alors tu le laisses se reposer en pokĂ©ball avec sa compagne qui est encore trop instable sans lui. HadĂšs reste aussi en pokĂ©ball, parce que tu nâas pas pris assez le temps de faire connaissance avec lui. Par contre Silver, Natsu et ZmeĂŻ refusent tout bonnement de retourner dans les leurs et câest entourĂ© de tes trois pokĂ©mons feu que tu te mets en route, non pas vers la Lande directement, mais vers un autre endroit que tu connais bien. Nolwenn⊠NOLWENN ! Ehhhh, tu es lĂ ?! Et tu cognes encore un peu contre la porte de chez elle avant de la voir apparaĂźtre et de reculer pour la laisser sâavancer vers toi. Tu es heureuse et comme toujours tu lui adresses un immense sourire. Eh bah, tu dormais ? Jâai cru que jâallais devoir tâenvoyer un de mes petits compagnons pour aller te chercher ! »Ca tâamuse, toi, encore plus que si elle connaĂźt dĂ©jĂ Silver, Natsu et ZmeĂŻ sont arrivĂ©s tout rĂ©cemment Ă tes cĂŽtĂ©s. Dâailleurs, tu surveilles du coin de lâoeil la rĂ©action des trois petits et câest avec un rire amusĂ© que tu vois ZmeĂŻ aller vers elle pour renifler ses mains Ă la recherche de nourriture ce SalamĂšche est un estomac sur pattes⊠alors que Natsu se place devant toi pour⊠te dĂ©fendre, trĂšs certainement. Tu vas bien ? Tu es occupĂ©e ?! Et te voilĂ Ă tendre la main pour agripper ses doigts sans vraiment lui laisser le temps de rĂ©agir. Si quelquâun tâattend, prĂ©viens-le que tu en as pour la journĂ©e, jâai besoin dâaller me promener du cĂŽtĂ© de la Lande et tu viens avec moi ! Tu souris, tu lâentraines dĂ©jĂ dâun pas vers toi pour quâelle ne cherche pas Ă sâenfuir et tu rajoutes avec des yeux Skitty. Je me suis blessĂ©e, cette semaine, du coup ce serait plus sage dâavoir une personne de confiance Ă mes cĂŽtĂ©s, tu ne crois pas ? »Et tu as mĂȘme le culot de faire papillonner tes paupiĂšres pour lui prouver combien tu es sage et tu as besoin dâelle ! SystĂšme GaĂŻaAdminFaceclaim c 100Messages 11651CrĂ©dits SystĂšme 107209Ville ToutesMĂ©tier SystĂšme Dirigeant de la rĂ©gion LatheaLun 31 AoĂ» - 1722Le membre 'Eos L. O'Malley' a effectuĂ© l'action suivante Lancer de dĂ©s'La Lande' InvitĂ©InvitĂ©Jeu 3 Sep - 1954L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Et nul ne se connaĂźt tant qu'il n'a pas jour de repos⊠Ce que tu avais pu lâattendre celui-ci. Cette semaine Ă©tait plus difficile que les autres et la fatigue se faisait fortement ressentir. Tu tâĂ©tais prise la tĂȘte plusieurs fois avec tes collĂšgues et les tensions avaient ce don de te gruger de lâĂ©nergie. Tu avais besoin de cette journĂ©e tranquille Ă juste prendre soin de toi et dâAlpha. Pour une fois, tu nâavais rien prĂ©vu et tu nâavais pas lâintention de changer tes plans. Tu allais commencer par une grasse-matinĂ©e pour ensuite faire le mĂ©nage de ton appartement en Ă©coutant de la musique trop forte au goĂ»t de tes voisins. Tu allais mĂȘme augmenter le son lorsquâils allaient te taper sur la tĂȘte pour que tu baisses le volume. Ensuite, tu allais cuisiner. Tu nâavais pas lâair de ça, mais tu aimais faire Ă manger et tu faisais partie de ceux qui cuisinaient pour leur PokĂ©mon. Alpha ne mangeait jamais de nourriture commerciale. Tu prenais le temps de tout faire par toi-mĂȘme et il en raffolait. CâĂ©tait bien pour ton Ă©go. AprĂšs tout cela, tu allais tâinstaller devant les combats PokĂ©mon pour juger les techniques de combat de chacun des participants en sachant pertinemment que tu ne ferais pas mieux. Dans la soirĂ©e, tu allais tĂ©lĂ©phoner Ă ta mĂšre pour quâelle ne sâinquiĂšte pas et ensuite, tu allais lire jusquâĂ ce que ton livre te tombe sur le nez. VoilĂ . Tu avais toute ta journĂ©e en tĂȘte et tu en avais mĂȘme hĂąte. Personne nâallait te dĂ©ranger nâest-ce pas ? ⊠Quelle naĂŻve es-tu Nolwenn. Tu Ă©tais encore au lit en train de profiter de ta grasse-matinĂ©e lorsquâon frappa â tambouriner serait un meilleur mot â contre ta porte. Pendant un instant, tu pensais que câĂ©tait une urgence qui mĂ©ritait que ton innocente porte de bois soit dĂ©foncĂ©e. Tu attrapas rapidement ton peignoir que tu enfilas un peu nâimporte comment et câest avec une allure de zombie que tu ouvris. Tu avais Ă©tĂ© trop Ă lâouest pour reconnaĂźtre la voix et tu lâĂ©tais encore plus lorsque ton regard se posa sur le magnifique visage dâEos. Tu clignas plusieurs fois des yeux et ta main se glissa derriĂšre ta nuque sous lâĂ©trange sensation que tu ressentais. Jâdormais. » grognes-tu comme seule rĂ©ponse. Oui, tu avais littĂ©ralement grognĂ© pour montrer ton mĂ©contentement quâune personne, aussi gentille soit-elle, vienne dĂ©ranger tes plans. Sauf que câĂ©tait Eos, ce nâĂ©tait pas comme si ça allait vraiment la gĂȘner de tâavoir dĂ©rangĂ©. Attends⊠attends⊠Câest quoi tout ça ? » Tu clignas plusieurs fois des yeux en essayant de rendre ta vue plus claire. Tu observais le SalamĂšche qui humait ta main comme sâil Ă©tait Ă la recherche de quelque chose. Tu finis par lui caresser dĂ©licatement le crĂąne et un demi-sourire Ă©tira tes lĂšvres. FĂ©licitations pour tes nouveaux copains. Ils sont adorables. » Enfin si on oubliait le fait que le Goupix te dĂ©visageait comme si tu allais tâattaquer Ă sa dresseuse. Mais putain Eos, attends ! Jâsuis mĂȘme pas habillĂ©e. » crachas-tu alors quâelle tâattirait dĂ©jĂ vers lâavant pour te faire quitter la chaleur de ton appartement. Tâas pris combien de cafĂ© ce matin ? » Elle Ă©tait beaucoup trop enjouĂ©e pour ton Ă©tat dâesprit du moment. Tu tâarrĂȘtas au beau milieu de ton couloir pour observer ton amie qui semblait avoir pris le contrĂŽle de ta journĂ©e. Je crois que la meilleure des idĂ©es si tu es blessĂ©e serait de venir te reposer tranquille sur mon canapé⊠Ouais, non ce nâest pas ce que tu veux. Rhaaa, tu saoules. Vraiment. Laisse-moi 10 minutes, jâarrive. » Elle ne te saoulait pas vraiment et elle le savait. Tu te permettais de lui parler comme cela, car tu lâapprĂ©ciais et malheureusement, elle en profitait en papillonnant des yeux comme si ça allait vraiment changer quelque chose. Tu savais que tu Ă©tais condamnĂ©e et quâelle allait te coller. Tu retiras ta main de celle de ton amie pour regagner ton appartement oĂč tu te mis en mode speed. VĂȘtements confortables, queue de cheval, dents brossĂ©s, ton sac de voyage, tu attrapas un gĂąteau pour te donner un peu dâĂ©nergie et te voilĂ de retour dans le couloir en compagnie dâEos. La prochaine fois, je tâen supplie. Appelle. » Bien sĂ»r que non quâelle nâallait pas appeler, ça pourrait te donner lâoccasion de refuser. Alpha sur les talons, tu quittas ton bloc appartement en directement de la Lande. Bon. Maintenant que tu mâas tirĂ© du lit. Tu me dois des explications. Comment tu tâes blessĂ©e ? Pourquoi tu as 168 PokĂ©mons qui te suivent et quâest-ce quâon vient chercher Ă La Lande si tu as dĂ©jĂ 187 PokĂ©mons ? » ExagĂ©rer les chiffres, câĂ©tait ta grande passion Nolwenn. Tu pouvais te le permettre Ă lâextĂ©rieur du boulot. Dans ton laboratoire, tous les chiffres avaient leur importance. Eos L. O'Malley et Nolwenn O'ReillyMissouille SystĂšme GaĂŻaAdminFaceclaim c 100Messages 11651CrĂ©dits SystĂšme 107209Ville ToutesMĂ©tier SystĂšme Dirigeant de la rĂ©gion LatheaJeu 3 Sep - 1954Le membre 'Nolwenn O'Reilly' a effectuĂ© l'action suivante Lancer de dĂ©s'La Lande' InvitĂ©InvitĂ©Jeu 3 Sep - 2038Tu aurais probablement dĂ» te douter que tu allais la rĂ©veiller, vu quâil est encore assez tĂŽt et que tu avais calculĂ© ses jours de congĂ©s. Ouais, tu as tout en tĂȘte, surtout quand il sâagit dâaller mettre ton nez dans les affaires de ton amie. Par contre, quand tu vois son visage tout enfarinĂ© apparaĂźtre, et bien tu ne lui laisses pas le temps de sâenfuir. Tu lui envoies tes plans en pleine tĂȘte, avec ce sourire absolument adorable et⊠tu te prends un vent de grognements en rĂ©ponse. Je te raconterai pour les petits, mais il faut que tu viennes ! Que tu la tentes, alors que ton sourire vient s'Ă©taler plus Ă droite quâĂ gauche, te donnant un air de canaille. Allez ! Va tâhabiller, jâai pris de quoi faire une collation et un pique-nique, et au pire on trouvera des baies dans la Lande. Tu tends la main, pile quand elle commence Ă repartir. Eh Nolwenn⊠Tâes jolie comme un coeur quand tu es toute grognonne ! »Et sur ça, tu la laisses disparaĂźtre, alors que tes yeux sâaccrochent quelques minutes Ă sa porte. Natsu sâest avancĂ© pour aller renifler lĂ oĂč se trouvait ton ami alors que ZmeĂŻ est en train de fermer et ouvrir tes doigts, visiblement persuadĂ© que les friandises y apparaissent comme par magie. Il nây a que Silver qui reste calmement contre toi, et qui tâobserve sans que tu ne saches bien que qui lui passe par la nâest que lorsque la jeune femme revient, habillĂ©e, lavĂ©e et coiffĂ©e, que tu cesses dâĂȘtre une statue silencieuse. Tu te mets Ă rire Ă sa demande, avant de voler sa main dans lâune des tiennes bander et lâattirer Ă ta suite avec une vivacitĂ© qui prouve depuis combien de temps tu te balades comme ça. Il nây a pas Ă dire, Eos, depuis que tu as lâĂ©levage, tu ne passes dĂ©cidĂ©ment plus assez de temps Ă dormir, peut-ĂȘtre que tu vas tâen rendre compte quand tes cernes seront bien noirs. La prochaine fois, je viendrai tout pareil avec ton cafĂ© prĂ©fĂ©rĂ© dans la main et un croissant dans lâautre, ça te va, miss rĂąleuse ? Tu tâamuses dâelle, parce que tu adores la voir comme ça, au rĂ©veil. Câest lâinstant le plus pur, le plus beau Ă tes yeux, quâune personne puisse offrir. Ahhh, câest une trĂšs longue histoire, ça, tu sais. Tu lâentraines dans une rue de Lucinelle. Et je nâen ai pas 168, simplement 3. Plus HadĂšs, Bonnie et Clyde qui sont dans leurs pokĂ©balls. »On peut sentir la fiertĂ© dans ta voix quand tu dis ça. Parce que pour la premiĂšre fois depuis ton premier pokĂ©mon, tu as un vĂ©ritable petit groupe avec toi. Tout est allĂ© super vite, mais tu ne regrettes aucun de tes gestes ni de tes choix. Il te faut tout de mĂȘme contenter ton amie, et tu lĂąches sa main pour retirer un peu le bandage et montrer tes paumes encore bien rouges et suintantes, mĂȘme si les cloques se sont parfaitement rĂ©sorbĂ©es. Je me suis brĂ»lĂ©e en voulant Ă©teinte ma cabane de jardin qui parfait en cendre⊠Jâai eu une de ses peurs, je te dis. Maintenant jâai un extincteur Ă lâĂ©levage pour parer Ă ce genre dâĂ©ventualitĂ©. Et du coup, câest justement liĂ© Ă mes nouveaux petits compagnons. Il y a eu⊠quelques frictions⊠Et tu te dĂ©pĂȘches de secouer les mains. Rien de grave, ils sont parfaits maintenant et ils nâont rien, donc tout va bien ! »Et vous voilĂ dĂ©jĂ Ă la sortie de la ville quand, tu en finis avec cette mise en bouche. Tes yeux virevoltent vers les trois joyeux lurons qui tâaccompagnent et tu leur fais signe de passer devant pour jouer avant de ramener tes yeux et ton adorable sourire Ă elle. Comment ça va toi ? Tu avais lâair sacrĂ©ment enfarinĂ©e, tu as trop bossĂ© hier ou tu as fait la fiesta ? » SystĂšme GaĂŻaAdminFaceclaim c 100Messages 11651CrĂ©dits SystĂšme 107209Ville ToutesMĂ©tier SystĂšme Dirigeant de la rĂ©gion LatheaJeu 3 Sep - 2038Le membre 'Eos L. O'Malley' a effectuĂ© l'action suivante Lancer de dĂ©s'Attaque Paisible' InvitĂ©InvitĂ©Mer 9 Sep - 053L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Et nul ne se connaĂźt tant qu'il n'a pas comme un cĆur lorsque tu Ă©tais grognonne ? Oh non, tu nâĂ©tais pas encore grognonne, elle nâavait rien vu Eos. Tu Ă©tais seulement contrariĂ©e dâavoir Ă©tĂ© rĂ©veillĂ©e et cette petite brune avait de la chance dâĂȘtre ton amie. Si ça nâavait pas Ă©tĂ© le cas, elle se serait pris une avalanche dâinsultes et de mots compliquĂ©s Ă vous retourner un cerveau. Si ça avait Ă©tĂ© une autre personne que tu apprĂ©ciais moins, tu serais retournĂ©e dans ton appartement pour ne jamais revenir aux cĂŽtĂ©s dâEos. Sans honte, tu lui aurais posĂ© un lapin pour faire le mĂ©nage de ton chez toi. Sauf que tu nâavais pas pu te rĂ©soudre Ă dĂ©truire la bonne humeur de ton amie. Elle ne mĂ©ritait pas ça. Elle Ă©tait lâune des rares personne Ă prendre autant soin de toi, tu pouvais bien lui rendre la pareille lorsquâelle avait besoin de toi. Tu nâavais pas Ă©tĂ© si difficile Ă convaincre au fond. Tu nâavais mĂȘme pas rĂ©ellement essayĂ© de la faire changer dâavis avant de regagner tes quartiers pour te prĂ©parer. Bien sĂ»r, ça ne voulait pas dire que tu Ă©tais davantage dâhumeur et que tu nâallais pas te permettre quelques remarques acerbes Ă gauche et Ă droite. Sauf que ça faisait partie de toi ça, ce nâĂ©tait pas nouveau et Eos devait lâaccepter pour tâapprĂ©cier encore aujourdâhui et pour ĂȘtre devant ta porte. Je vais mâen souvenir miss matinale. Et si tu nâas pas ce cafĂ© la prochaine fois, je te jure que je vais te fermer la porte au nez. » Est-ce que tu allais le faire ? Probablement. Tu avais une seule parole et lorsque tu promettais quelque chose, tu tâexĂ©cutais. Par contre, Eos avait la chance de savoir que tu Ă©tais facilement achetable, surtout avec de la nourriture. Avec un cafĂ© et une pĂątisserie, elle saurait gagner ton cĆur pour les heures suivantes. Tu avais acceptĂ© de la suivre et tu te laissais guider dans la rue de ton quartier en direction de la Lande. Câest ce que je dis⊠3 plus 3, ça donne 168. Jâai un doctorat. » Tout de suite, tu semblais un petit peu moins rĂąleuse. Maintenant que tu avais acceptĂ© ton sort, tu nâallais pas tâen plaindre toute la journĂ©e. Si tu nâavais pas voulu sortir, tu lâaurais fait comprendre Ă Eos et tu ne serais pas sortie. Mais explique-moi tout. Comment tu as rĂ©cupĂ©rĂ© ton petit groupe ? » Ăa lâintĂ©ressait rĂ©ellement. Avant aujourdâhui, Eos Ă©tait un petit peu comme toi. Câest-Ă -dire quâelle avait un unique PokĂ©mon quâelle aimait et chĂ©rissait de tout son cĆur. Quâest-ce qui lâavait poussĂ© Ă se retrouver avec un troupeau aussi rapidement ? Un joli troupeau dâailleurs. Tu ne pouvais pas tâempĂȘcher de jeter quelques coups dâĆil aux petits PokĂ©mon feux qui suivaient leur dresseuse. Ils Ă©taient beaux. Tu nâĂ©tais pas du style jalouse, mais tu ne dirais pas non Ă un magnifique Dracaufeu. Elle lĂącha finalement ta main et tu observas chacun de ses mouvements jusquâĂ ce que le pansement quitte sa main. De longues secondes, tu regardas les rougeurs et tu ne retiens pas ta grimace. Câest moche⊠» murmuras-tu avant quâelle se lance dans lâexplication dĂ©taillĂ©e. Tu lui accordas toute ton attention pendant son histoire et la surprise gagna ton visage. Attends⊠Tu es en train de me dire que⊠Tes PokĂ©mons ont mis le feu Ă ton Ă©levage ? » Finalement, tu allais retirer ce que tu avais pensĂ©. Tu Ă©tais incertaine de vouloir encore un Dracaufeu. Et tes mains ? Ăa va aller ? Tu penses que tu vas pouvoir les rebouger sans rééducation ? » Tu ne connaissais pas la nature rĂ©elle de ses blessures, mais tu espĂ©rais vraiment quâil y avait eu plus de peur que de mal dans cette histoire. Tu ne lui souhaitais aucune sĂ©quelle. Crois-moi, jâaurais prĂ©fĂ©rĂ© avoir fait la fiesta toute la nuit. » Tu aurais peut-ĂȘtre Ă©tĂ© plus supportable avec une gueule du bois. Câest le boulot. La semaine a Ă©tĂ© terrible. Sans te parler de cet abruti de Nathan. » Tu lui avais dĂ©jĂ racontĂ© que tu pensais que ton collĂšgue avait des vues sur toi et quâil avait ce don de tâĂ©nerver plus que nĂ©cessaire. Il a Ă©tĂ© encore pire cette semaine, je suis passĂ©e Ă deux doigts de lui en coller une. » Et lâĂ©leveuse te connaissait assez pour savoir que tu nâexagĂ©rais pas tes propos. Jâcrois que je lâai fait pleurer. » LĂ , Eos pouvait voir une petite vague de culpabilitĂ© dans ton regard, car mĂȘme sâil Ă©tait relou, tu nâavais pas aimĂ© lui faire de la peine. Sauf que tu Ă©tais brutale comme personne. Pourtant, si elle avait Ă©tĂ© lĂ ton amie, elle aurait vu que tu avais fait preuve de toute la patience du monde avant de pĂ©ter un plomb pour lui dire ta façon de penser. Eos L. O'Malley et Nolwenn O'ReillyMissouille SystĂšme GaĂŻaAdminFaceclaim c 100Messages 11651CrĂ©dits SystĂšme 107209Ville ToutesMĂ©tier SystĂšme Dirigeant de la rĂ©gion LatheaMer 9 Sep - 053Le membre 'Nolwenn O'Reilly' a effectuĂ© l'action suivante Lancer de dĂ©s'La Lande' InvitĂ©InvitĂ©Jeu 10 Sep - 1403 Ahahahah, tu as ma parole alors. La prochaine fois tu auras ton petit-dĂ©jeuner tout chaud et prĂ©parĂ© par mes soins. Je nây manquerai pas ! »Tu le dis et surtout Eos, tu le feras. Tu nâes pas du genre Ă donner ta parole en lâair, et câest clairement ce que tu prĂ©vois. Il te faudra juste tây prendre un peu plus Ă lâavance quâaujourdâhui ou te lever en pleine nuit pour lui prĂ©parer une viennoiserie qui vaille le coup, mais lâun dans lâautre ce sont des options qui te vont parfaitement. Et puis, de toute façon, tu nâa spas le temps dây songer plus que ton amie vient parler de ta jolie petite trouve. Un grand sourire Ă©claire tes lĂšvres⊠Si on te lance sur ton sujet prĂ©fĂ©rĂ© hein, tu ne vas pas dire non ! Dans la Lande ! Jâai croisĂ© Natsu, le Goupix, lĂ -bas il y a un petit moment maintenant. Puis quelque temps plus tard, Zmei, le SalamĂšche, qui Ă©tait tombĂ© sur Silver qui sâĂ©tait cognĂ© la tĂȘte. Il voulait la soigner, et il mâa laissĂ© approcher, pour ne plus me quitter. Bonnie et Clyde, les Caninos, se battaient dans la lande. Enfin Clyde se battant contre un autre mĂąle pour elle, plutĂŽt. Tu as un petit rire encore touchĂ© par la dĂ©votion du Caninos mĂąle. Et on mâa confiĂ© HadĂšs ! Ce nâĂ©tait pas prĂ©vu, mais⊠ça met de la bonne humeur et de la vie Ă lâĂ©levage, je suis contente ! »Tu avances dâun bon pas en lui expliquant tout ça. Et vraiment Eos, on ne peut pas douter de ton bonheur au fait dâĂȘtre si bien entourĂ©e. Tes yeux brillent et mĂȘme tes pokĂ©mons, au fur et Ă mesure que tu cites leurs noms, ils se tournent vers toi. Silver Ă©met un petit cri de joie. Natsu se frotte Ă tes jambes et Zmei tend la main, toujours persuadĂ© que tu vas lui filer quelque chose Ă manger. Oui, câest ça. Natsu et Bonnie se sont un peu battus. Mais câĂ©tait de ma faute, et maintenant ils sâentendent bien ! Que tu viens balayer en secouant les mains. Oh ? Oui, elles bougent dĂ©jĂ mieux et je les tartine dâonguent matin et soir, donc ça devrait aller ! Tu as un haussement dâĂ©paules. Plus de peur que de mal ! »Pour tes pokĂ©mons, parce que tu as sacrĂ©ment souffert sur le coup, de tes mains, mais ça nâexiste dĂ©jĂ plus dans ta tĂȘte. A la place, tu prĂ©fĂšres largement relancer sur la vie de Nolwenn et les raisons de sa fatigue. DĂšs quâelle tâexplique que ça vient du boulot, tu plisses un peu les paupiĂšres et tu viens attraper son bras pour te blottir contre elle en lâĂ©coutant te parler de son collĂšgue. Encore ?! Mais quâest-ce quâil a fait encore ? Tu en as dĂ©jĂ entendu parler de celui-lĂ . Comme toujours, tu essaies dâavoir un avis et un regard neutre sur la chose, mĂȘme si tu sais bien que tu protĂ©geras ton amie quoiquâil arrive. Fais attention Ă ne pas lui cogner dessus, ça pourrait te porter prĂ©judice dans ton boulot⊠Tu rĂ©flĂ©chis avant dâajouter avec un faux sourire carnassier. Au pire, demande-moi dâaller lui faire les gros yeux Ă la sortie du travail ! Parce que tâes pas vraiment capable de mieux que ça. Par contre, sa remarque suivante tâinquiĂšte et tu ralentis inconsciemment le pas. Pleurer ? Mais⊠tu lui as dit quoi ? Tu⊠Tu es allĂ©e tâexcuser, quand mĂȘme Nolwenn ? »Ah bah oui, tu veux bien lâaider et ĂȘtre de son cĂŽtĂ©, mais avec toi, Eos, on ne fait pas pleurer les autres. Câest trop triste et dur, ça. SystĂšme GaĂŻaAdminFaceclaim c 100Messages 11651CrĂ©dits SystĂšme 107209Ville ToutesMĂ©tier SystĂšme Dirigeant de la rĂ©gion LatheaJeu 10 Sep - 1403Le membre 'Eos L. O'Malley' a effectuĂ© l'action suivante Lancer de dĂ©s'La Lande' InvitĂ©InvitĂ©Jeu 24 Sep - 222L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Et nul ne se connaĂźt tant qu'il n'a pas moins, vous aviez rĂ©ussi Ă vous mettre dâaccord sur quelque chose. La prochaine fois, elle allait tâapporter un petit-dĂ©jeuner tout chaud. Elle allait partir avec des points en plus et elle risquait moins de sâattirer tes foudres matinales. Maintenant que tu avais acceptĂ© de sortir et de lâaccompagner, tu devais ĂȘtre un minimum vivable et courtoise. Tu nâavais pas lâintention de bouder toute la journĂ©e. Sans surprise, tu pris le temps de tâinformer sur ses nouveaux PokĂ©mons. Tu Ă©tais curieuse, donc son histoire tâintĂ©ressait. Surtout que ça te semblait si soudain de la part de ton amie qui avait quâun seul PokĂ©mon lors de votre derniĂšre rencontre. Soit les choses sâĂ©taient passĂ©es trĂšs vite pour la brunette soit vous vous nâĂ©tiez pas vu depuis trop longtemps. Cette deuxiĂšme optique serait inacceptable. Woah, woah, woah. Tout ça en trĂšs peu de temps. Tu as de quoi ĂȘtre fiĂšre de ta jolie petite famille. Jâaurais bien voulu voir une bataille de Caninos pour une femelle tien⊠Tu as officiellement commencĂ© ton Ă©levage, câest bon maintenant ? Tu as eu des Ćufs ? » Tu souris lĂ©gĂšrement en imaginant ton amie en train de gagatiser » devant ses bĂ©bĂ©s PokĂ©mons. Ăa serait tellement le genre de ton amie de sâextasier devant ses petits et câest bien pour cela quâelle ferait une bonne Ă©leveuse. Tu savais quâelle prendrait soin de ses bĂ©bĂ©s PokĂ©mons Ă tout prix et quâils se trouvaient entre de bonnes mains. Elle semble vraiment heureuse en te parlant Eos et ça te fait du bien de voir ça. CâĂ©tait un vrai rayon de soleil ton amie et elle mĂ©ritait le mieux pour elle. Tu restas surprise lorsquâEos te confia quâil y avait eu le feu dans son Ă©levage. Ăa aurait pu ĂȘtre trĂšs grave, mais Eos tâen parlait avec un tel dĂ©tachement que tu lui faisais confiance. Les dĂ©gĂąts Ă©taient peut-ĂȘtre aussi minimes quâelle le prĂ©tendait. Ouais bah fais attention Ă toi quand mĂȘme. Je ne veux qui tâarrive rien. » Ăa allait tâinquiĂ©ter maintenant. MĂȘme si elle te disait que ça allait mieux entre ses deux PokĂ©mons, il nâĂ©tait pas exclu quâun nouveau PokĂ©mon cause des problĂšmes ou encore quâun bĂ©bĂ© ne sachant pas se contrĂŽler mette le feu Ă la place. Tu ne pouvais pas Ă©lever des PokĂ©mon fĂ©es Ă la place ? » dis-tu avec une pointe dâhumour malgrĂ© la lĂ©gĂšre inquiĂ©tude qui pouvait sâentendre dans ta voix. Chaque PokĂ©mon pouvait ĂȘtre dangereux, câĂ©tait un fait, mais tous ne pouvaient pas faire brĂ»ler entiĂšrement un bĂątiment. Tu dĂ©cidas de te confier sur ton petit Ă©change avec Nathan, car Eos Ă©tait dĂ©jĂ au courant de lâhistoire. Tu savais que tu avais mal fait les choses, mais tu savais aussi que tu avais fait au mieux pour Ă©viter cette situation. Ce nâĂ©tait pas de ta faute. Enfin, un petit peu, mais pas totalement. Il tâavait poussĂ© Ă bout. Câest une mine boudeuse qui gagna ton visage lorsquâelle te demanda si tu tâĂ©tais excusĂ©e. Pourquoi ça serait Ă toi dâaller tâexcuser ? CâĂ©tait injuste. Tu croisas les bras sous ta poitrine avant de pousser un profond soupir. Pourquoi je me serai excusĂ©e ? Il a Ă©tĂ© lourd, je lui ai demandĂ© dâarrĂȘter et de se concentrer sur le boulot. Il a continuĂ© avec ses remarques Ă deux pokĂ©balls. Il ne mĂ©rite pas dâexcuses. » VoilĂ . Tu boudais et tu le faisais bien comprendre Ă Eos. Mais promis, avant dâen arriver Ă le frapper, je vais faire appel Ă toi. » Tu nâallais pas aller jusquâĂ lĂ , pas avec un collĂšgue. Tu ne voulais pas mettre ta carriĂšre en danger. Tes parents seraient toujours lĂ pour tâaider, mais ils ne pouvaient pas faire de miracle non plus. Câest juste dommage pour lui quâil ne comprenne rien. Je vais devoir le changer dâĂ©quipe. » Ăa, ça ne te plaisait pas, car câĂ©tait un bon scientifique, mais tu allais penser Ă toi en premier.Eos L. O'Malley et Nolwenn O'ReillyMissouille SystĂšme GaĂŻaAdminFaceclaim c 100Messages 11651CrĂ©dits SystĂšme 107209Ville ToutesMĂ©tier SystĂšme Dirigeant de la rĂ©gion LatheaJeu 24 Sep - 222Le membre 'Nolwenn O'Reilly' a effectuĂ© l'action suivante Lancer de dĂ©s'La Lande' Contenu sponsorisĂ©
Lhomme est un apprenti, la douleur est son maßtre. soul-society-stories. Description : Alors voilà pour ceux qui me connaissent votre folle d'amour à écrit une autre fic' Alors voilà encore une fois forte dose d'rpcaracters. Envoyer un message; Offrir un cadeau; Suivre; Bloquer; Partage. Tweet; Amis 0; Design by soul-society-stories. Signaler un abus.403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID vrZ8oVRH0MgIy1XlCKclrRNyV_5DPKV1jk2kHUVG2ihtEjMmmJC7nA==
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